« Page:Daviault - La Grande aventure de Le Moyne d'Iberville, 1934.djvu/97 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 4 : | Ligne 4 : | ||
funeste puisque ce navire porte les munitions de |
funeste puisque ce navire porte les munitions de |
||
guerre et de bouche pour l’expédition de Nelson. |
guerre et de bouche pour l’expédition de Nelson. |
||
« Sérigny et Chartier voulurent venir à son se |
« Sérigny et Chartier voulurent venir à son secours, mais les glaces le resserrèrent. Le ''Profond'' se |
||
cours, mais les glaces le resserrèrent. Le ''Profond'' se |
|||
trouva aussi renfermé avec le ''Dering'' et l’''Hudson-bay'' ». |
trouva aussi renfermé avec le ''Dering'' et l’''Hudson-bay'' ». |
||
Du Gué attaque, ne pouvant mettre en |
Du Gué attaque, ne pouvant mettre en |
||
action que deux canons à l’arrière de la sainte-barbe. |
action que deux canons à l’arrière de la sainte-barbe. |
||
L’ennemi le crible de coups, lui hachant |
L’ennemi le crible de coups, lui hachant |
||
ses manœuvres. La bataille, intermittente, dure |
ses manœuvres. La bataille, intermittente, dure |
||
dix heures : il tient tête. Le soir, |
dix heures : il tient tête. Le soir, l’''Hampshire'' |
||
joint les autres et tous trois lui envoyent leurs |
joint les autres et tous trois lui envoyent leurs |
||
bordées, puis le laissent le croyant près de couler à fond. Mais le ''Profond'' est sauvé. « L’on peut |
bordées, puis le laissent le croyant près de couler à fond. Mais le ''Profond'' est sauvé. « L’on peut |
||
Ligne 18 : | Ligne 17 : | ||
Pour le ''Pélican'', arrivé dans la baie, la manœuvre devient possible. « Monsieur d’Iberville fit |
Pour le ''Pélican'', arrivé dans la baie, la manœuvre devient possible. « Monsieur d’Iberville fit |
||
hisser aussitôt les Huniers. L’équipage se |
hisser aussitôt les Huniers. L’équipage se trouva prompt à lui obéir. C’étoit à qui se mettroit le premier à son devoir. Les uns armuroient la |
||
va prompt à lui obéir. C’étoit à qui se mettroit le premier à son devoir. Les uns armuroient la |
|||
grande voile, les autres bordoient la grande Ecoute |
grande voile, les autres bordoient la grande Ecoute |
||
et l’Artimon. Les uns brassoient les Huniers, et |
et l’Artimon. Les uns brassoient les Huniers, et |