« Page:Leblanc - La demoiselle aux yeux verts, paru dans Le Journal, du 8 déc 1926 au 18 jan 1927.djvu/70 » : différence entre les versions

 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page corrigée
+
Page validée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 7 : Ligne 7 :
La villa Faradoni est au bord de la route et commande un vaste terrain montueux et planté d’oliviers. Des chemins rocailleux et presque toujours déserts suivent à l’extérieur les trois autres côtés de l’enceinte. Raoul en fit l’inspection, nota une petite porte de bois vermoulu, plus loin une grille de fer, aperçut, dans un champ voisin, une maisonnette qui devait être celle de la blanchisseuse, et revint aux environs de la grande route, à l’instant où une calèche surannée s’éloignait vers Nice. Le comte Faradoni et son personnel allaient aux provisions. Il était 3 heures.
La villa Faradoni est au bord de la route et commande un vaste terrain montueux et planté d’oliviers. Des chemins rocailleux et presque toujours déserts suivent à l’extérieur les trois autres côtés de l’enceinte. Raoul en fit l’inspection, nota une petite porte de bois vermoulu, plus loin une grille de fer, aperçut, dans un champ voisin, une maisonnette qui devait être celle de la blanchisseuse, et revint aux environs de la grande route, à l’instant où une calèche surannée s’éloignait vers Nice. Le comte Faradoni et son personnel allaient aux provisions. Il était 3 heures.


— Maison vide, pensa Raoul. Il n’est guère probable que le correspondant de miss Bakefield, qui ne peut ignorer à l’heure actuelle l’assassinat de sa complice, veuille ten-
— Maison vide, pensa Raoul. Il n’est guère probable que le correspondant de miss Bakefield, qui ne peut ignorer à l’heure actuelle l’assassinat de sa complice, veuille {{tiret|ten|ter}}