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{{M.|Sarcey}} terminait son dernier article à peu près par ces mots : « Comme ces questions sont plus intéressantes que les vaines querelles politiques et que toutes les inutiles discussions qui nous passionnent ! » |
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Je me garderai bien de nier que ces questions soient intéressantes ; mais je les juge tout aussi vaines et tout aussi inutiles que les insupportables querelles politiques dont sont encombrés les journaux. |
Je me garderai bien de nier que ces questions soient intéressantes ; mais je les juge tout aussi vaines et tout aussi inutiles que les insupportables querelles politiques dont sont encombrés les journaux. |
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Pourquoi ? |
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Parce qu’on n’apprendra jamais aux Français à parler, ni à écrire leur langue ! Parce qu’ils lisent chaque jour la prose stupéfiante dont les journaux sont pleins, et qu’ils la savourent avec délices ; parce qu’ils considèrent M. |
Parce qu’on n’apprendra jamais aux Français à parler, ni à écrire leur langue ! Parce qu’ils lisent chaque jour la prose stupéfiante dont les journaux sont pleins, et qu’ils la savourent avec délices ; parce qu’ils considèrent {{M.|Thiers}} comme un grand écrivain, et {{M.|Manuel}}, auteur des ''Ouvriers'', comme un poète ! |
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J’entendais dernièrement un homme de lettres de vraie race définir le style à peu près ainsi : « Une chose |
J’entendais dernièrement un homme de lettres de vraie race définir le style à peu près ainsi : « Une chose qui blesse |