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Railleur et mordant, traçant en quelques mots des silhouettes follement drôles, promenant sur tous son ironie charmante, méridionale et personnelle, Alphonse Daudet apporte comme une senteur de Paris, du Paris vivant, viveur, remuant et élégant, du Paris du jour même, à ces deux grands qui subissent le charme de sa verve éloquente, la séduction de sa figure et de son geste, et la science de ses récits toujours composés comme des contes en volume. |
Railleur et mordant, traçant en quelques mots des silhouettes follement drôles, promenant sur tous son ironie charmante, méridionale et personnelle, Alphonse Daudet apporte comme une senteur de Paris, du Paris vivant, viveur, remuant et élégant, du Paris du jour même, à ces deux grands qui subissent le charme de sa verve éloquente, la séduction de sa figure et de son geste, et la science de ses récits toujours composés comme des contes en volume. |
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Mais Zola, essoufflé par |
Mais Zola, essoufflé par les cinq étages, et suivi de Paul Alexis, vient de paraître à son tour. La profonde affection qu’il inspire au maître du logis se montre dans l’accueil. Ce n’est point seulement une haute estime pour le puissant romancier, c’est un élan cordial, une amitié vive pour l’homme sincère et droit qui apparaît dans le « Bonjour, mon bon ! » et |