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maman Coralie. Et maintenant que vous en savez autant que moi, qu’en pensez-vous |
fait, maman Coralie. Et maintenant que vous en savez autant que moi, qu’en pensez-vous ? |
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Elle lui tendit la main. |
Elle lui tendit la main. |
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– Je pense que vous m’avez sauvée d’un péril que j’ignore, mais qui semble redoutable, et je vous en remercie. |
– Je pense que vous m’avez sauvée d’un péril que j’ignore, mais qui semble redoutable, et je vous en remercie. |
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– Ah |
– Ah ! non, dit-il, je n’accepte pas le remerciement. C’est une telle joie pour moi d’avoir réussi ! Non, ce que je vous demande, c’est votre opinion sur l’affaire elle-même. |
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Elle n’hésita pas une seconde et répondit nettement |
Elle n’hésita pas une seconde et répondit nettement : |
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– Je n’en ai pas. Aucun mot, aucun incident, parmi tout ce que vous me racontez, n’éveille en moi la moindre idée qui puisse nous renseigner. |
– Je n’en ai pas. Aucun mot, aucun incident, parmi tout ce que vous me racontez, n’éveille en moi la moindre idée qui puisse nous renseigner. |
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– Vous ne vous connaissez pas d’ennemis |
– Vous ne vous connaissez pas d’ennemis ? |
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– Personnellement, non. |
– Personnellement, non. |
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– Et cet homme à qui vos deux agresseurs devaient vous livrer, et qui prétend que vous lui êtes connue |
– Et cet homme à qui vos deux agresseurs devaient vous livrer, et qui prétend que vous lui êtes connue ? |
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Elle rougit un peu et déclara |
Elle rougit un peu et déclara : |
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– Toute femme, n’est-ce pas |
– Toute femme, n’est-ce pas ? a rencontré dans sa vie des hommes qui la poursuivent plus ou moins ouvertement. Je ne saurais dire de qui il s’agit. |
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Le capitaine garda le silence assez longtemps, puis repartit |
Le capitaine garda le silence assez longtemps, puis repartit : |
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– En fin de compte, nous ne pouvons espérer quelque éclaircissement que par l’interrogatoire de notre prisonnier. S’il se refuse à nous répondre, tant pis pour lui… je le confie à la police, qui, elle, saura débrouiller l’affaire. |
– En fin de compte, nous ne pouvons espérer quelque éclaircissement que par l’interrogatoire de notre prisonnier. S’il se refuse à nous répondre, tant pis pour lui… je le confie à la police, qui, elle, saura débrouiller l’affaire. |