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après le dernier espoir envolé, à ce grand homme en toc accepté comme rossignol par cette pauvre fille, qui, sans lui, aurait été bientôt à la femme ce qu’est le poisson salé au poisson frais.
{{tiret2|arrière-|saison}} après le dernier espoir envolé, à ce grand homme en toc accepté comme rossignol par cette pauvre fille, qui, sans lui, aurait été bientôt à la femme ce qu’est le poisson salé au poisson frais.


Et, chaque année, des unions pareilles ont lieu après la saison finie, dans les villes de bains abandonnées.
Et, chaque année, des unions pareilles ont lieu après la saison finie, dans les villes de bains abandonnées.


{{Bloc centré/o}}<poem style="font-size:90%">Allez, allez, ô jeunes filles,
Chercher maris auprès des flots…</poem>{{Bloc centré/f}}


{{Br0}}disait le poète.

Allez, allez, ô jeunes filles,

Chercher maris auprès des flots…



disait le poète.


Ils disparurent dans l’ombre.
Ils disparurent dans l’ombre.
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Le bruit monotone du flot engourdissait la pensée, et une tristesse démesurée me venait de la solitude infinie de la terre, de la mer et du ciel.
Le bruit monotone du flot engourdissait la pensée, et une tristesse démesurée me venait de la solitude infinie de la terre, de la mer et du ciel.


Soudain, des voix jeunes me réveillèrent et deux grandes filles démesurément hautes m’apparurent, immobiles à regarder l’Océan. Leurs cheveux, répandus dans le dos, volaient au vent ; et, serrées
Soudain, des voix jeunes me réveillèrent et deux grandes filles démesurément hautes m’apparurent, immobiles à regarder l’Océan. Leurs cheveux, répandus dans le dos, volaient au vent ; et, {{tiret|ser|rées}}