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* [[Benvenuto Cellini]] :
** {{L2S|Mémoires de Benvenuto Cellini, orfèvre et sculpteur florentin|Cellini, Oeuvres completes, trad leclanché, 1847.djvu}} : correction partielle
{{épigraphe|« Aussitôt, je dirigeai mon arquebuse vers le groupe de combattants qui me parut le plus nombreux et le plus serré, et je visai un personnage qui dominait tous les autres. Il y avait un nuage de poussière si épais, que je ne pus distinguer s’il était à cheval ou à pied. Je dis ensuite à Alessandro et à Cecchino de faire feu, et je les postai de manière à esquiver les balles des assiégeants. Lorsque chacun de nous eut tiré deux fois, je m’approchai de la muraille avec précaution, et je vis qu’il régnait parmi les ennemis une confusion extraordinaire, occasionnée par une de nos arquebusades qui avait tué le [[w:Charles III de Bourbon|connétable de Bourbon]]. Comme on le sut plus tard, il n’était autre que ce personnage que j’avais aperçu dominant ceux qui l’entouraient. » ([[Mémoires (Cellini)/t1-l2-1|Siège de Rome]])}}
* [[Bernard de Clairvaux]] :
** {{L2S|Œuvres complètes, tome 2|Saint-Bernard - Oeuvres complètes, trad Charpentier, Tome 2, 1866.djvu}} : correction de quelques textes
{{épigraphe|« Mais que signifient dans vos cloîtres, là où les religieux font leurs lectures, ces monstres ridicules, Il faut proscrire des cloîtres les vaines peintures. ces horribles beautés et ces belles horreurs ? À quoi bon, dans ces endroits, ces singes immondes, ces lions féroces, ces centaures chimériques, ces monstres demi-hommes, ces tigres bariolés, ces soldats qui combattent et ces chasseurs qui donnent du cor ? Ici on y voit une seule tête pour plusieurs corps ou un seul corps pour plusieurs têtes : là c’est un quadrupède ayant une queue de serpent et plus loin c’est un poisson avec une tête de quadrupède. Tantôt on voit un monstre qui est cheval par devant et chèvre par derrière, ou qui a la tête d’un animal à cornes et le derrière d’un cheval. Enfin le nombre de ces représentations est si grand et la diversité si charmante et si variée qu’on préfère regarder ces marbres que lire dans des manuscrits, et passer le jour à les admirer qu’à méditer la loi de Dieu. Grand Dieu, si on n’a pas de honte de pareilles frivolités, on devrait au moins regretter ce qu’elles coûtent. » ([[s:Apologie à Guillaume de Saint-Thierry/Chapitre XII|Apologie à Guillaume de Saint-Thierry]])}}
* [[Jacques de Voragine]] :
** {{L2S|La Légende dorée|Voragine - Légende dorée.djvu}} : correction de quelques pages