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{{Personnage|D’Estrigaud.|c}}
D'ESTRIGAUD. --- Apprends qu'un gentilhomme doit se laisser tromper par sa maîtresse aussi bien que par son intendant. Navarette fait partie de mon train, comme mes chevaux.
Apprends qu’un gentilhomme doit se laisser tromper par sa maîtresse aussi bien que par son intendant. Navarette fait partie de mon train, comme mes chevaux.


{{Personnage|Lucien.|c}}
LUCIEN. --- Je comprends jusqu'à un certain point qu'on n'entrave pas la carrière de ces demoiselles ; mais Cantenac ne rapporte rien à celle-ci : il est l'amant de coeur.
Je comprends jusqu’à un certain point qu’on n’entrave pas la carrière de ces demoiselles ; mais Cantenac ne rapporte rien à celle-ci : il est l’amant de cœur.


{{Personnage|D’Estrigaud.|c}}
D'ESTRIGAUD. --- Pardine ! je voudrais bien voir que ce maroufle se permît de payer mes gens !
Pardine ! je voudrais bien voir que ce maroufle se permît de payer mes gens !


{{Personnage|Lucien.|c}}
LUCIEN. --- D'Estrigaud! tu es plus grand que nature!... Je ne serai jamais qu'un enfant à côté de toi.
D’Estrigaud ! tu es plus grand que nature ! Je ne serai jamais qu’un enfant à côté de toi.


{{Personnage|D’Estrigaud.|c}}
D'ESTRIGAUD. --- J'ai de la peine à t'ouvrir les idées, mais je n'en désespère pas. Silence ! voici l'homme de Plutarque.
J’ai de la peine à t’ouvrir les idées, mais je n’en désespère pas. Silence ! voici l’homme de Plutarque.


SCÈNE IX


{{uc|{{scène|IX}}}}
LES MÊMES,- ANDRÉ.


{{acteurs|{{sc|Les Mêmes}}, ANDRÉ.|n}}
ANDRÉ. --- Bonjour, ami. — Je viens de chez vous, monsieur.


{{Personnage|André.|c}}
D'ESTRIGAUD. --- M'apportez-vous des nouvelles?
Bonjour, ami. — Je viens de chez vous, monsieur.

{{Personnage|D’Estrigaud.|c}}
M’apportez-vous des nouvelles ?