A. Le Chevalier (p. 113-114).


DERNIER ÉCHELON.



Ceux qui vivent du bureau de bienfaisance !

Nous connaissons une bonne vieille de quatre-vingts ans. — Elle n’a plus de parents, et sa vue affaiblie ne lui permet aucun travail. — Dans cet état, son bureau lui donne :

30 cent. de charbon par mois !!!
30 cent. de charcuterie
Quatre livres de pain
Deux livres de viande

Si tous les pauvres des bureaux de bienfaisance ne reçoivent pas plus, ils diffèrent de bien peu des gens qui meurent de faim.

Paris compte un indigent par seize habitants.