Redgauntlet. Histoire du XVIIIe siècle
Traduction par Albert Montémont.
Ménard (Œuvres de Walter Scott, volume XXp. 17-24).


REDGAUNTLET.



LETTRE PREMIÈRE.

DARSIE LATIMER À ALAN FAIRFORT.


Dumfries.


Cur me querelis exanimas tuis[1] ? — Ce qui peut se traduire ainsi : Pourquoi m’assourdissez-vous de vos jérémiades ? L’accent de tristesse avec lequel vous m’avez dit adieu à Noble-House, en montant sur votre misérable cheval de louage pour retourner à vos études de droit, retentit encore à mes oreilles. Il semblait dire : « Heureux coquin ! vous pouvez courir à plaisir par monts et par vaux, poursuivre chaque objet de curiosité qui se présente, et abandonner la poursuite quand elle perd son intérêt, tandis que moi, votre ancien en âge et en science, il me faut, dans cette brillante saison, revenir à mon étroite chambre et à mes livres moisis. »

Tel était, selon moi, le sens des réflexions dont vous attristâtes notre dernière bouteille de bordeaux, et je ne puis interpréter différemment vos adieux mélancoliques.

Et pourquoi en est-il ainsi, Alan ? pourquoi diable n’êtes-vous pas assis juste en face de moi en ce moment, dans cette auberge, à l’enseigne du Roi Georges, les talons sur le garde-feu, et votre front magistral laissant ses rides s’effacer lorsqu’un bon mot vous vient à l’esprit ? surtout pourquoi, quand je remplis mon verre de vin, ne puis-je vous passer la bouteille et dire : « À vous, Alan ! » Pourquoi, en résumé, tout cela n’est-il pas ? Pourquoi Alan Fairlord ne comprend-il point l’amitié dans un sens aussi vrai que Darsie Latimer, et ne veut-il pas mettre aussi nos bourses en commun aussi bien que nos sentiments ?

Je suis seul dans le monde ; mon unique protection est le tuteur dont les lettres m’annoncent une immense fortune, qui doit m’appartenir à vingt-cinq ans accomplis. Mon revenu annuel, vous le savez, satisfait très-largement à tous mes besoins ; et pourtant vous, — traître que vous êtes à la cause de l’amitié, — vous me privez de votre société, et vous vous condamnez vous-même à des privations, de peur que mes courses vagabondes ne me coûtent quelques guinées de plus ! Est-ce par égard pour ma bourse ou pour votre propre orgueil ? N’est-ce pas également absurde et déraisonnable, quelque soit le motif ? car, je vous l’assure, j’ai et j’aurai plus qu’il ne faut à tous deux. Le même et méthodique Samuel Griffiths, d’Ironmonger-Lane, Guild-Hall, à Londres, dont la lettre arrive aussi exactement que le jour du quartier, m’a envoyé, comme je vous l’ai dit, double ration pour ce vingt-unième anniversaire de ma naissance, m’assurant, dans son langage concis, que la somme sera encore doublée les années suivantes, jusqu’à ce que j’entre en possession de mes biens. Il faut encore que je m’abstienne de visiter l’Angleterre jusqu’à l’expiration de ma vingt-cinquième année. Quant à présent, l’on me recommande de ne faire aucune enquête touchant ma famille.

Si je ne me rappelais ma pauvre mère dans son grand deuil, elle qui ne souriait jamais qu’en me regardant, et encore d’un douloureux et faible sourire, comme le soleil lorsqu’il rayonne à travers un nuage d’avril ; si ce n’était, dis-je, que sa douce figure et ses nobles manières repoussent un tel soupçon, je me croirais fils d’un directeur de la compagnie des Indes, ou d’un riche bourgeois, qui avait plus d’argent que d’honneur, d’un libertin hypocrite qui élevait en cachette, enrichissait en secret, un être auquel il avait honte sans doute d’avoir donné l’existence. Mais, comme je l’ai déjà dit, je me souviens de ma mère, et je suis sûr, comme de mon existence, que l’ombre même du déshonneur ne peut s’allier à rien qui la concerne. Cependant, je suis riche et je suis seul : pourquoi mon unique ami se fait-il scrupule de partager mes richesses ?

N’êtes-vous pas mon unique ami ? et n’avez-vous pas acquis le droit de partager avec moi ? Quand je quittai la solitude de la maison maternelle pour le tumulte de la classe des enfants à High-School[2] ; — quand je fus bafoué pour mon accent du Sud, — salé avec de la neige comme un pourceau d’Angleterre, — et roulé dans le ruisseau en recevant l’épithète de boudin saxon, qui, avec de bons arguments, et des coups meilleurs encore, osa se déclarer mon défenseur ? Ce fut Alan Fairford. — Qui me rossa d’importance quand j’apportai l’arrogance d’un fils unique, et par conséquent un mauvais caractère, sur les bancs de la petite républiques ? — Encore Alan. Et qui m’apprit à viser au but, à fouetter un sabot, et à tourner une corde ? — Alan, encore une fois. Si je devins l’orgueil des Écoles et la terreur des marchands dans le passage High-School, ce fut sous votre patronage ; et sans vous je me serais contenté de passer humblement sous la porte Cowgate sans grimper par-dessus, et je n’aurais jamais vu le Kittle-Nine Steps[3] de plus près que du parc de Bareford. Vous m’avez appris à ne point faire de mal aux faibles, et à frapper ferme sur les forts, — à ne rien rapporter hors de l’école, à me conduire en homme, — à obéir à l’ordre terrible d’un pande manum[4], et à endurer la douleur des férules sans sourciller, en écolier résolu à ne pas devenir meilleur. Bref, avant de vous connaître, je ne connaissais rien.

À l’université, ce fut de même. Quand j’étais d’une paresse incorrigible, votre exemple et votre exhortation m’excitèrent à tenter un effort et me montrèrent la route des jouissances intellectuelles. Vous fîtes de moi un historien, un métaphysicien, (invitâ Minervâ)…, même, par le ciel, vous avez presque fait un avocat de moi aussi bien que de vous-même. Oui, plutôt que de me séparer de vous, Alan, je passai une ennuyeuse année au cours de droit écossais, une plus ennuyeuse à celui de droit civil ; et mon cahier de notes, rempli de caricatures sur les professeurs et sur mes camarades, n’existe-t-il pas encore pour témoigner des grands avantages que j’en retirai ?


Nous avons jusqu’ici marché toujours ensemble,


et, pour dire la vérité, uniquement afin de suivre la même carrière que vous. Mais je ne puis vous suivre davantage, Alan. Sur ma parole, j’aimerais autant être un de ces ingénieux marchands qui, de l’autre côté de la cloison[5], filoutent petit maître Jacques en lui vendant toupies, balles, volants et raquettes, qu’un des membres de la confrérie en longue robe qui en impose à de simples paysans avec de sonores citations de lois. Gardez-vous de lire ceci à votre digne père, Alan ; — il m’aime assez, je crois, un soir de samedi ; mais il pense que ma société est assez inutile tout autre jour de la semaine. Et je soupçonne que là gît votre obstination à refuser, par cette délicieuse saison, de faire avec moi une excursion dans les comtés du Sud. Je sais que le digne gentleman m’en veut pour avoir eu l’étourderie de quitter Édimbourg avant la clôture de la session ; peut-être aussi me regarde-t-il un peu de mauvais œil, à cause de mon manque absolu, je ne dirai pas d’ancêtres, mais de parents. Il me considère comme un être isolé en ce monde, Alan, c’est la pure vérité ; et c’est à ses yeux un motif pour que vous ne vous attachiez pas à moi, qui ne puis réclamer aucun intérêt dans la grande famille du genre humain.

Ne supposez pas que j’oublie ce que je lui dois, pour m’avoir permis de loger quatre ans sous son toit : mes obligations envers lui ne sont pas moindres, mais, au contraire, plus grandes encore, s’il ne m’a jamais cordialement aimé. Il est fâché aussi que je ne veuille ou ne puisse pas être homme de loi, et, par rapport à vous, il regarde mon peu d’inclination pour cette carrière comme pessimi exempli, ainsi qu’il dirait.

Mais il ne doit pas craindre qu’un garçon aussi solide que vous puisse être influencé par un roseau faible comme moi qui plie au gré de tous les vents. Vous continuerez à douter avec Dirleton et à résoudre vos doutes avec Stewart[6], jusqu’à ce que le fameux discours ait été prononcé par vous more solito, au bout du banc, et la tête couverte ; — jusqu’à ce que vous ayez juré de défendre les libertés et privilèges du collège de la justice ; — jusqu’à ce que la robe noire recouvre vos épaules et que vous soyez aussi libre qu’aucun membre de la faculté de poursuivre ou de défendre. Alors je me produirai, Alan, et dans un rôle que votre père lui-même avouera pouvoir vous être plus utile que si j’avais atteint comme vous le but brillant de vos études législatives. En un mot, si je ne puis être avocat, je suis déterminé à être client, — espèce de personne sans qui un vrai procès serait aussi ridicule qu’un cas supposé. Oui, je suis déterminé à vous faire gagner vos premiers honoraires. On peut aisément, j’en suis certain, entrer en procès : — c’est seulement d’en sortir, qui est chose parfois très-difficile ; — or, avec votre cher père pour agent ; vous, si versé dans la jurisprudence, pour avocat, et le respectable maître Samuel Griffiths derrière moi, quelques sessions n’épuiseront pas ma patience. Bref, je me présenterai devant la cour, fallût-il pour cela commettre un délit, ou au moins un quasi-délit. — Vous voyez que les écrits d’Erskine et les leçons de Wallace[7] n’ont pas été tout à fait perdus pour moi.

Voilà sans doute d’assez joyeuses plaisanteries ; et pourtant, Alan, je ne suis point parfaitement satisfait au fond. Je suis accablé du sentiment de mon isolement, et ma solitude m’est d’autant plus pénible qu’elle me semble toute particulière à moi. Dans une contrée où tout le monde a un cercle de parenté qui s’étend au sixième degré au moins, je suis un individu isolé, ne connaissant qu’un être dont le cœur batte à l’unisson du mien. Si j’étais condamné à travailler pour gagner mon pain, il me semble que je m’apercevrais moins de cette nouvelle espèce de privation. Les communications nécessaires entre le maître et le serviteur seraient au moins un lien qui m’attacherait au reste des hommes : — dans le fait, mon indépendance même me semble augmenter encore la singularité de ma position. Je suis dans le monde comme un étranger dans un café bien fréquenté ; il entre, demande les rafraîchissements dont il a besoin, paie la carte, et est oublié aussitôt que le garçon a prononcé son « merci, monsieur. »

Je sais que votre bon père appellerait ceci pécher contre la merci du ciel ; et me demanderait quelles seraient donc mes plaintes, si, au lieu d’acquitter facilement ma dépense, j’étais obligé de chercher à fléchir la colère de l’hôte pour avoir consommé ce que je ne pourrais payer. Je ne puis dire comment cela se fait ; mais quoique cette réflexion très-raisonnable s’offre à mon esprit, quoique je confesse que quatre cents livres sterling de revenu annuel dont j’ai joui jusqu’à présent et qui viennent d’être doublées, et enfin le Seigneur sait combien de centaines encore par derrière, soient chose agréable et plaisante, pourtant j’en céderais volontiers la moitié pour appeler votre père mon père, quand même il devrait me gronder pour ma paresse à chaque heure du jour, et pour vous appeler mon frère, quand même le mérite de mon frère dût alors faire rentrer complètement le mien dans l’ombre.

Une idée confuse, mais qui n’est pas tout à fait invraisemblable, s’est souvent présentée à mon esprit : c’est que votre père en sait sur ma naissance et ma condition réelle plus qu’il n’est disposé à en dire. Il me semble peu probable que j’aie été laissé à Édimbourg à l’âge de six ans, sans aucune autre recommandation que le paiement régulier de ma table au vieux M… d’High-School. Tout ce que je puis me rappeler d’antérieur à ce temps, comme je vous l’ai dit bien des fois, c’est l’indulgence sans bornes de ma mère, et mon exigence vraiment tyrannique. Je me rappelle encore comme elle soupirait amèrement en cherchant en vain à m’apaiser, lorsque, avec tout le despotisme d’un enfant gâté, je beuglais comme dix veaux ensemble pour une chose qu’il était impossible de me procurer. Elle est morte, cette mère si bonne et si mal récompensée ! Je me rappelle les figures allongées, — la chambre obscure, — les tentures noires, — la mystérieuse impression faite sur mon esprit par le char funèbre et les voitures de deuil, et la difficulté que j’éprouvais à concilier tout cela avec la disparition de ma mère. Je crois que, avant cet événement, je ne m’étais jamais formé une idée de la mort, et que même je n’avais jamais entendu parler de cette fin nécessaire de toute existence. La première connaissance que je fis avec elle me priva de toute ma famille en me privant de ma mère.

Un ecclésiastique d’un air vénérable, notre seul visiteur, fut mon guide et mon compagnon dans un voyage d’une longueur considérable ; je fus ensuite, je ne sais comment ni pourquoi, confié aux soins d’un homme âgé, qui prit sa place, je terminai avec lui mon voyage en Écosse ; — et voilà tous mes souvenirs.

Je répète cette petite histoire maintenant, comme je l’ai déjà répétée cent fois, uniquement pour en extraire quelque éclaircissement. Appliquez donc votre esprit si fin et si pénétrant, votre génie d’avocat à la même tâche ; — travaillez mon histoire comme si vous arrangiez les sottes allégations d’un client bien niais et bien lourd, de façon à faire accorder les faits et les circonstances et vous serez, non pas mon Apollon, — quid tibi cum lyrâ ? — mais mon lord Stair[8]. En attendant, je me suis depêtré de ma mélancolie et de mes noires visions, simplement en y puisant le sujet de ma lettre. Je vais donc maintenant causer une demi-heure avec Robin le rouan : le coquin me connaît déjà, et hennit quand je passe le seuil de l’écurie.

Le cheval noir que vous montiez hier matin promet d’être un admirable serviteur, et trotte aussi aisément avec Sam et le portemanteau qu’avec vous et votre jurisprudence. Sam promet d’être un domestique actif, et l’a été jusqu’à présent. Épreuve de courte durée, direz-vous. Il rejette la faute de ses premières inexactitudes sur la mauvaise compagnie. — Les gens qu’il voyait à l’écurie étaient sans doute très-séduisants. — Il nie avoir jamais négligé le cheval : — il aurait plutôt préféré ne pas dîner, dit-il. En cela, je le crois, car les côtes et le poil de Robin n’offrent pas preuves du contraire. Cependant, comme il ne rencontrera pas de saints dans les auberges que nous fréquenterons, et comme parfois l’avoine se change aussi vite en bière que John-Barley-Corn[9] lui-même, j’aurai l’œil sur maître Sam. L’imbécile ! s’il n’eût point abusé de mon caractère, j’aurais pu jaser avec lui pour tenir ma langue en exercice, au lieu qu’à présent il me faut le tenir à distance.

Vous rappelez-vous ce que M. Fairford me dit un jour à ce sujet ? « Qu’il ne convenait pas au fils de mon père de parler ainsi au fils du père de Sam. » Je vous demandai ce que votre père pouvait connaître du mien, et vous me répondîtes : « Autant, je suppose, qu’il en connaît de celui de Sam : — c’est une expression proverbiale. » Cette explication ne me satisfit pas, quoique, à coup sûr, je ne puisse dire pourquoi, Mais je reviens encore à un sujet stérile et épuisé. Ne soyez pas effrayé si je rentre dans ce champ des conjectures si souvent parcouru et cependant sans chemins frayés. Je ne connais rien de si inutile, de si ridicule et de si méprisable que d’ennuyer par de vaines lamentations les oreilles de ses amis.

Je voudrais pouvoir vous promettre que mes lettres seront aussi intéressantes que j’ai résolu de les écrire longues et de les envoyer régulièrement. Nous avons un avantage sur les couples d’amis fameux dans l’antiquité : David et Jonathas, Oreste et Pylade, Damon et Pythias. — Quoique pour ces derniers, en particulier, une lettre par la poste eût été chose fort utile, — ils n’eurent jamais de correspondance ; car probablement ils ne savaient pas écrire, et certainement ils n’avaient ni poste ni faculté d’affranchir pour s’envoyer leurs épanchements réciproques ; tandis que nous, au moyen de l’enveloppe affranchie que vous avez eue d’un noble pair[10], et que nous pouvons, en la cachetant avec soin et en l’ouvrant avec précaution, nous faire passer mille et mille fois, nous échapperons aux droits de poste de Sa Majesté, tout le temps que doit durer mon voyage. Ainsi, réjouissez-vous Alan ! Quelles missives je vais écrire, sans rien omettre de tout ce que je puis réunir de plaisant ou de curieux, dans l’intéressante tournée que j’entreprends ! Tout ce que je stipule, c’est que vous ne les communiquerez pas au Scotch Magazine[11] ; car, bien que vous ayez l’habitude de me complimenter d’assez mauvaise grâce sur ma réussite dans la plus légère branche de la littérature, aux dépens de ma capacité dans les matières plus graves de la jurisprudence, je ne suis pas encore assez audacieux pour entrer sous le portail que le savant Ruddiman a ouvert si charitablement aux acolytes des Muses. — Vale, sis memor meî.

D. L.

P. S. Adressez vos lettres ici, au bureau de la poste. Je laisserai des ordres pour qu’on me les envoie en quelque endroit que je puisse aller.



  1. Premier vers d’une ode d’Horace, livre ii. a. m.
  2. Le collège. a. m.
  3. Passage pratiqué sur le bord même du roc où est bâti le château d’Édimbourg, et au moyen duquel il n’est possible qu’à une chèvre ou à un écolier de High-School de tourner le coin de l’édifice dans la partie où il touche l’angle du précipice. C’était un exploit si favori pour les étudiants, qu’on dut poser des sentinelles pour empêcher cet exercice dangereux. Grimper au haut de la porte Cowgate, surtout par un temps de neige, était encore un de leurs amusements de prédilection, parce qu’elle présentait un poste inaccessible d’où l’on pouvait impunément lancer des boules de neige sur les passants. La porte n’existe plus aujourd’hui, et probablement le plus grand nombre des jeunes combattants a également disparu. a. m.
  4. Ouvre la main. a. m.
  5. La chambre du parlement d’Édimbourg était autrefois divisée en deux parties inégales par une cloison : la partie inférieure était consacrée aux hommes de lois, tandis que l’autre division était occupée par des boutiques de papetiers et de marchands de joujoux, comme dans un bazar moderne. D’après la vieille pièce du Plain Dealer (homme franc et loyal), il semble qu’il en fut jadis de même pour la salle de Westminster. Aujourd’hui Minos a purgé ses cours, dans les deux cités, de tout trafic autre que le sien propre. a. m.
  6. Jurisconsulte écossais. a. m.
  7. Erskine, jurisconsulte, et Wallace, professeur à Édimbourg. a. m.
  8. Célèbre jurisconsulte écossais. a. m.
  9. Jean grain d’orge, personnification de la bière. a. m.
  10. Les membres du parlement jouissent du port franc pour leur correspondance. a. m.
  11. Le Magasin écossais, recueil périodique. a. m.