Page:Voltaire - Œuvres complètes Garnier tome37.djvu/592

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
2251. 
Le baron de Marschall. Potsdam, ce 18, au château. — « J’ai eu l’honneur de vous remercier. » 
 C. et F.
2252. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « J’ai lu, la nuit et ce matin. » 
 B.
2253. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « Je rends à Votre Majesté ses six chants. » 
 Pr.
2254. 
La marquise du Deffant. Potsdam, 20 juillet. — « Votre souvenir et vos bontés. » 
 B.
2255. 
Le comte d’Argental. Juillet. — « Je viens de lire Manlius. » 
 B.
2256. 
Le chevalier Falkener. Potsdam, 27 juillet. — « Dear sir, fortune that hurries us » 
 C. et F.
2257. 
Le comte Algarolti. Potsdam, 27.... — « Ecco il vostro Dubos. » 
 B.
2258. 
Formey 5 août 1751. — « J’ai l’honneur d’envoyer. » 
 C. et F.
2259. 
Du comte d’Argental. 6 août. — « Je n’ai rien à ajouter. » 
 B.
2260. 
Le comte d’Argental. Potsdam, 7 août. — « Mon adorable ami, je reçois. » 
 B.
2261. 
Frédéric II. roi de Prusse. — « Je demande pardon à Votre Majesté. » 
 B.
2262. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « Je rends à Votre Majesté ce premier volume. » 
 B.
2263. 
Le président Hénault. Potsdam, 15 août. — « Vraiment, je reconnais. » 
 Lord Brodgham.
2264. 
Mme  de Fontaine. Potsdam, 17 août. — « J’ai reçu assez tard votre lettre. » 
 B.
2265. 
Frédéric II. roi de Prusse. — « Sire, eh ! mon Dieu, comment faites-vous donc. » 
 B.
2266. 
Mme  Denis. Potsdam, 24 août. — « Vous recevrez, ma chère plénipotentiaire. » 
 B.
2267. 
La princesse Ulrique, reine de Suède. Berlin, 25 août. — « Reine auguste, reine chérie. » 
 V. Adv.
2268. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « Mais, sire, Votre Majesté n’avait donc pas lu. » 
 B.
2269. 
Le marquis d’Argens. Potsdam. — « Mon cher Isaac, soyez le bien revenu. » 
 B.
2270. 
Frédéric II, roi de Prusse. — « Je suis dans une grande affliction. » 
 B.
2271. 
Le comte d’Argental. Berlin, 28 août. — « Milord Maréchal, qui est une espèce d’ancien Romain. » 
 B.
2272. 
M. de Balbi. Potsdam, il 28 agosto. — « lo vi ringrazio per avermi. » 
 C. et F.
2273. 
Le marquis d’Argens. — « J’ai reçu votre lettre et celle. » 
 B.
2274. 
Frédéric II, roi de Prusse. Berlin. — « Par ma foi, ces Anglais, que j’avais crus si sages. » 
 B.
2275. 
Le maréchal de Richelieu. Berlin, 31 août. — « Mon héros, un domestique de ma nièce. » 
 B.
2276. 
Darget — « Il est bon de connaître la bonne foi germanique. » 
 B.
2277. 
Mme  Denis. Berlin, 2 septembre 1751. — « J’ai encore le temps, ma chère enfant. » 
 B.
2278. 
De Frédéric. 8 (septembre). — « Esclave de la poésie. » 
 Pr.