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1345. Le comte d’Argental. Sur le chemin de Rotterdam, ce 15 septembre. — « J’ai peur, mon cher ange gardien. » 
 C. et F.
1346. Maupertuis. À la Haye, ce 18 septembre. — « Je vous sers plus tôt que je ne vous l’avais promis. » 
 B.
1347. Frédéric II, roi de Prusse. À la Haye, ce 22 septembre. — « Oui, le monarque-prêtre est toujours en santé. » 
 B.
1348. Thieriot. À la Haye, ce 29 septembre. — « Je n’ai que le temps. » 
 C. et F.
1349. L’abbé Moussinot. Septembre. — « Je vous prie instamment, mon cher abbé. » 
 C.
1350. Le marquis d’Argens. À la Haye, le 2 d’octobre 1740. — « Mon cher ami, donc l’imagination et la probité. » 
 B.
1351. De Frédéric. Octobre. — « Je suis honteux de vous devoir trois lettres. » 
 Pr.
1352. M. Cyrille Le Petit, pasteur de l’Église catholique française. À la Haye, ce 3 octobre. — « Vous faites sans doute votre devoir. » 
 C. et F.
1353. Frédéric II, roi de Prusse. La Haye, 7 octobre. — « J’oubliai de mettre dans mon dernier paquet. » 
 B.
1354. L’abbé Moussinot. À la Haye, 7 octobre 1740. — « Je n’ai qu’un mot à dire. » 
 C.
1355. De Frédéric. 7 octobre. — « L’amant favori d’Uranie. » 
 Pr.
1356. Thieriot. À la Haye, ce 9 octobre. — « Voici de la graine des Périclès. » 
 B. et F.
1357. M***. La Haye. — « Soyez très sûr que j’ai sondé le terrain. » 
 B.
1358. Frédéric II, roi de Prusse. À la Haye, le 12 octobre. — « Sire, Votre Majesté est d’abord suppliée. » 
 B.
1359. De Frédéric. 12 octobre. — « Enfin, je puis me flatter de vous voir ici. » 
 Pr.
1360. Frédéric II, roi de Prusse. Octobre. — « Sire, Votre Humanité ne recevra point. » 
 B.
1361. Thieriot. À la Haye. Octobre. — « Je reçois votre lettre. » 
 B.
1362. L’abbé Moussinot. À la Haye, au palais du roi de Prusse, ce 14 octobre. — « Je reçois votre lettre. » 
 C.
1363. Frédéric II, roi de Prusse. La Haye, le 17 octobre. — « Bientôt à Berlin vous l’aurez. » 
 B.
Addition à cette lettre d’après C. et F.
1364. Le maréchal de Broglie. À la Haye, au palais du roi de Prusse, ce 17 octobre. — « Il m’est venu trouver ici un jeune homme. » 
 B.
1365. M. de Champflour père. À la Haye, au palais du roi de Prusse, ce 18 d’octobre. — « Quoique je n’aie pas l’honneur d’être connu. » 
 B.
1366. M. de Camas, mbassadeur du roi de Prusse. À la Haye, ce 18 d’octobre. — « Les jansénistes disent qu’il y a des commandements de Dieu. » 
 B.
1367. Cideville. À la Haye, au palais du roi de Prusse, le 18 d’octobre. — « Voici mon cas, mon très-aimable Cideville. » 
 B.
1368. De Frédéric. 21 octobre. — « Je vous suis mille fois obligé. » 
 Pr.