L. 14 : On second liure de diuination. Cicéron y blâme en ces termes (ch. 40) ce genre d’observations : « quæ si suscipiamus… et sternutamenta erunt observanda. »
Page 103, l. 29 : Da iurandi. Voyez ci-dessus, p. 167, la note sur la l. 30 de la p. 231.
Page 104, l. 13 : Tout vray à tout vray consone. Traduction de cet axiome scolastique :
Omne verum omni vero consonat.
Page 105, l. 9 : Mouuons toute pierre. C’est la transcription du proverbe latin : « Omnem movere lapidera, » que Pline le Jeune, dans une de ses lettres (i, 20), cite sous sa forme grecque : « πάντα denique λίθον ϰινῶ. »
Page 106, l. 2 : Ὁ δὲ γέρων σίϐυλλιᾷ. « Le vieillard prophétise comme une sibylle. » (Chevaliers, i, 1, 61)
L. 17 : De Isaac, de Iacob. — Genèse, 27, 28 et 29.
L. 17 : De Patroclus enuers Hector, de Hector enuers Achilles. — Iliade, ii, 843, et x, 355.
L. 18 : De Polynestor. — Euripide, Hécube, v, 1270.
L. 19 : Du Rhodien célébré par Posidonius. « Divinare autem morientes, etiam illo exemplo confirmat Posidonius quo affert Rhodium quemdam morieutem sex æquales nominasse, et dixisse qui primus eorum, qui secundus, qui deinde deinceps moriturus esset. » (Cicéron, De Divinatione, i, 30)
L. 20 : De Calanus Indian. — Plutarque, Vie d’Alexandre, LXX.
L. 21 : De Orodes. — Virgile, Énéide, x, 139.
Page 107, l. 27 : Prenez la, ne la prenez pas. Ce rondeau est de Guillaume Crétin ; on le trouve avec quelques variantes dans ses œuvres. Ce qui a fait penser à la plupart des commentateurs de Rabelais que Raminagrobis n’est autre que Guillaume Crétin.
Page 110, l. 23 : Ce que ie diray, aduiendra, ou ne aduiendra poinct. C’est à Ulysse que Tirésias parle ainsi :
… quidquid dicam, aut erit, aut non.