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De la capitulation au 18 mars.
Les élections générales. — Millière dévoile J. Favre. — Garibaldi insulté par l’assemblée nationale. — Les ruraux. — Nouveaux symptômes d’antagonisme social. — M. Grévy président. — M. Thiers chef du pouvoir exécutif. — Pacte de Bordeaux. — La paix est votée. — Anniversaire du 24 février. — La garde nationale à la Bastille. — Les Prussiens doivent entrer dans Paris — Les canons de la place Wagram. — Occupation de Paris par les Prussiens. — Projet de dissolution de la garde nationale parisienne. — Les Trente sous. — Mécontentement général. — Les batteries de Montmartre. — Suspension des journaux. — Les canons de la place des Vosges. — Tentative de coup d’État. — Elle échoue. — Le gouvernement s’enfuit de Paris. 
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Seconde partie.
Le Comité central et la Commune.
Le Comité central à l’Hôtel-de-Ville.
Le mandat du Comité est légitime. — Origine et organisation du Comité. — Ses membres sont inconnus. — Ses premiers actes après le 18 mars. — Mort de MM. Lecomte et Clément Thomas. — Conduite des maires et des députés de Paris. — Le Comité n’a pu marcher sur Versailles. — Lullier et le Mont Valérien. — Attitude hostile de la presse parisienne. — Son manifeste. — Déclaration de la Corderie. — Affaire de la rue de la Paix. — Les maires à Versailles. — Récit d’un officier supérieur. — Proclamation mensongère de l’amiral Saisset. — La réaction au 2e arrondissement. — Les troupes de l’Ordre licenciées. — La crise est dénouée. — Les élections communales. — Proclamation du scrutin. 
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Première séance de la Commune.
La Commune et le Comité central en présence l’un de l’autre. — Premier président de la Commune. — Son discours d’ouverture. — Manœuvre du citoyen Tirard. — Pas de publicité. — Résumé de l’attitude de la Commune dans cette séance. 
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