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Du 4 septembre au 31 octobre,
La Gauche hésite. — Trochu et son serment. — Les Arago à l’Hôtel-de-Ville. — L’écharpe rouge. — Les hommes de la Défense. — Suspicions qu’ils inspirent. — L’Internationale à la Corderie le soir du 4 septembre. — Délégation ouvrière à l’Hôtel-de-Ville. — Réponse de Gambetta. — Nécessités de la situation. — Comités de vigilance. — Comité central de la Corderie. — Investissement de Paris. — Impéritie de la Défense. — Le programme de la Corderie. — La Pairie en danger. — Les socialistes calomniés par la Défense. — Le 8 octobre. — Première manifestation communaliste. — Mensonge du gouvernement à propos de Metz. — Il pousse à l’assassinat de Félix Pyat. — Metz s’est rendu. — Le Bourget. — M. Thiers à Paris. — Projet d’armistice. — Colère des Parisiens. 
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Le 31 octobre.
L’Internationale et les chambres syndicales ouvrières sont étrangères à ce mouvement. — Manifestations à l’Hôtel-de-Ville. — Etienne Arago et J. Simon devant la population. — L’Hôtel-de-Ville envahi. — Les membres de la Défense gardés à vue. — Attitude de Dorian. — Trochu cède. — Flourens intervient. — Il propose un Comité de Salut public. — Conséquences funestes de cette intervention. — Insuccès définitif de la journée. — Transaction entre le Comité de Salut public et la Défense. — Les bataillons bourgeois rentrent à l’Hôtel-de-Ville. — Retraite du Comité de Salut public. — La guerre civile évitée. 
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Du 31 octobre à la capitulation de Paris.
Joie de la bourgeoisie. — Blanqui et ses adversaires. — Plébiscite. — Arrestations politiques. — Les magistrats républicains. — Élections municipales. — Plus d’armistice. — Il faut vaincre. — Sortie du 28 novembre. — Mort ou victorieux. — Sortie du 19 janvier. — La garde nationale pouvait sauver Paris. — Le 22 janvier. — Chaudey et J. Kerry font balayer la place de l’Hôtel-de-Ville. — Les prisonniers à Vincennes. — La Défense livre Paris. 
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