Page:Lamartine - Œuvres complètes de Lamartine, tome 11.djvu/493

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
L’Assemblée et le peuple. — Le pouvoir à l’hôtel de ville. — Les chefs sortent de leurs retraites. — Le conseil de la commune, germe de la Convention. — Aspect de l’Assemblée. — Les pétitionnaires à la barre. — Dépouilles du château apportées par les combattants. — La royauté suspendue. — La Convention décrétée. — Camp sous Paris. — Roland, Clavière et Servan réintégrés. — Danton ministre de la justice. — Ses paroles à l’hôtel de ville. — Paris le soir du 10 août. — Le peuple et la bourgeoisie. — Santerre et La Fayette. — Le roi et la famille royale couchent aux Feuillants. — Le peuple demande encore des meurtres. — Danton ajourne les vengeances populaires. — La famille royale conduite au Temple. 
 3



Les Girondins forcés d’abdiquer. — Dispositions de l’armée. — La Fayette s’expatrie. — Dumouriez prête serment à la nation. — Couthon. — Westermann émissaire de Danton à l’armée. — Dumouriez remplace La Fayette à l’armée. — Il gagne la confiance des troupes. — La commune de Paris s’attribue le pouvoir exécutif. — Création d’un tribunal criminel. — Marat poursuit sa pensée d’extermination. — Danton l’accomplit. 
 37



Paris sans communication avec l’extérieur. — Visites domiciliaires. — Les suspects dans les prisons. — Danton se prépare à l’événement. — Robespierre laisse marcher la Révolution. — Saint-Just et Robespierre. — Le 2 septembre. — Massacres des prisons. — Les Suisses. — Le baron de Reding. — Les gardes du roi. — M. de Montmorin. — M. de Sombreuil et sa fille. — Cazotte et sa fille. — Thierri. — MM. de Maillé, de Rohan-Chabot. — Le jeune Montsabray. — L’abbé Sicard. — L’archevêque d’Arles. — La princesse de Lamballe. — Le nègre Delorme. 
 89