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Chap. CXXIII. Quelle est la superficie plus propre à recevoir les couleurs. 
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Chap. CXXIV. Quelle partie d’un corps participe davantage à la couleur de son objet, c’est-à-dire, du corps qui l’éclaire. 
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Chap. CXXV. En quel endroit la superficie des corps paroîtra d’une plus belle couleur. 
 109
Chap. CXXVI. De la carnation des têtes. 
 ibid.
Chap. CXXVII. Manière de dessiner d’après la bosse, et d’apprêter du papier propre pour cela. 
 110
Chap. CXXVIII. Des changemens qui se remarquent dans une couleur, selon qu’elle est ou plus ou moins éloignée de l’œil. 
 ibid.
Chap. CXXIX. De la verdure qui paroît à la campagne. 
 111
Chap. CXXX. Quelle verdure tirera plus sur le bleu. 
 ibid.
Chap. CXXXI. Quelle est celle de toutes les superficies qui montre moins sa véritable couleur. 
 112
Chap. CXXXII. Quel corps laisse mieux voir sa couleur véritable et naturelle. 
 ibid.
Chap. CXXXIII. De la lumière des paysages. 
 113
Chap. CXXXIV. De la perspective aérienne, et de la diminution des couleurs causée par une grande distance. 
 ibid.
Chap. CXXXV. Des objets qui paroissent à la campagne dans l’eau comme dans un miroir, et premièrement de l’air. 
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Chap. CXXXVI. De la diminution des couleurs, causée par quelque corps qui est entre elles et l’œil. 
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Chap. CXXXVII. Du champ ou du fond qui convient à chaque ombre et à chaque lumière. 
 ibid.
Chap. CXXXVIII. Quel remède il faut apporter lorsque le blanc sert de champ à un autre blanc, ou qu’une couleur obscure sert de fond à une autre qui est aussi obscure. 
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