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Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome II.djvu/729
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TABLE.
LES FEUILLES D’AUTOMNE
.
Pages.
Préface
5
I.
Ce siècle avait deux ans
13
II.
À M. Louis B.
16
III.
Rêverie d’un passant à propos d’un roi
20
IV.
Que t’importe, mon cœur, ces naissances de rois ?
23
V.
Ce qu’on entend sur la montagne
24
VI.
À un voyageur
27
VII.
Dicté en présence du glacier du Rhône
30
VIII.
À M. David, statuaire
32
IX.
À M. de Lamartine
36
X.
Un jour au mont Atlas les collines jalouses
45
XI.
Dédain
46
XII.
Ô toi, qui si longtemps vis luire à mon côté
49
XIII.
C’est une chose grande et que tout homme envie
51
XIV.
Ô mes lettres d’amour !
52
XV.
Laissez. Tous ces enfants sont bien là
54
XVI.
Quand le livre où s’endort chaque soir ma pensée
57
XVII.
Oh ! pourquoi te cacher ? tu pleurais seule ici
58
XVIII.
Où donc est le bonheur ? disais-je. — Infortuné !
61
XIX.
Lorsque l’enfant paraît, le cercle de famille
63
XX.
Dans l’alcôve sombre
65
XXI.
Parfois, lorsque tout dort, je m’assieds plein de joie
68
XXII.
À une femme
69
XXIII.
Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage
70
XXIV.
Madame, autour de vous tant de grâce étincelle
72
XXV.
Contempler dans son bain sans voiles
73
XXVI.
Vois, cette branche est rude, elle est noire, et la nue
75
XXVII.
À mes amis L. B. et S.-B.
76
XXVIII.
À mes amis S.-B. et L. B.
80
XXIX.
La pente de la rêverie
82