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CRÉDIT EST MORT


I. Origine de cette facétie.Mon oie fait tout. — Le cabaret de Ramponneau. — Brocs à l’usage des compagnons. — Recueil des proverbes de Lagniet. — Opinion de M. Rathery sur l’ancienneté de la facétie. — Le capitaine Malepaye. — La chasse à mon oye de 1679. 
 171 à 180
II. Images relatives à l’argent. — Épinal propage ces facéties. — L’horloge de Crédit. — Les imprimeurs des Vosges n’admettent pas la rime par assonance. — Le grand diable d’argent. — L’honneur et l’argent d’un La Chaussée moderne. — On ne rit plus aujourd’hui du crédit. — Analogie de la faïence populaire de Nevers et de l’imagerie. 
 181 à 189


LA FARCE DES BOSSUS


I. Portrait de Grattelard. — Sa parenté avec Gros-Guillaume, Turlupin, etc. — Son costume. — L’Arlequin au xviie siècle. — Les valets effrontés. — Jasmin, Jean Broche. 
 191 à 193
II. Parade
 194 à 201
III. Diverses incarnations de Grattelard. — Fabliau du xiiie siècle. — Conte de Straparole. 
 201 à 204
IV. Les trois bossus de Besançon. — De Tabarin à Nicolet. — Pellerin d’Épinal imprime le conte. — Voyage des Bossus en Espagne. — Grandeur et décadence de Mayeux. — Grossièreté des anciens Flamands. — Grattelard et Scapin. 
 205 à 207