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CALCUL DIRECT DES SÉRIES.
des fonctions périodiques et soient telles fonctions arbitraires
que l’on veut des
Observons qu’après comme avant la transformation de ces séries
par les procédés du no 126, l’expression (considérée
comme fonction des pendant que les seront regardés comme
des constantes) devra être une différentielle exacte.
Soit donc encore
Supposons qu’il y ait variables conjuguées deux à deux ; que
les variables de la première série soient de deux sortes ; nous
appellerons celles de la première sorte les celles de la deuxième
sorte les
Les variables de la deuxième série conjuguées des s’appelleront
les et celles qui sont conjuguées des s’appelleront
les de sorte que nos équations canoniques s’écriront
(1)
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Je suppose que dépende des mais non des des ni
des que est périodique par rapport aux et aux
que, si l’on appelle la partie moyenne de (en considérant pour un instant
comme une fonction périodique des seulement,
mais non des ), ne dépende pas des mais seulement des
et des Ce sont, en sommé, les mêmes hypothèses que celles du
no 134.
Nous avons vu alors qu’on peut satisfaire formellement aux
équations (1) par des séries de la forme suivante
(2)
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les étant des fonctions périodiques des et
des dépendent en outre des constantes et et dont les
valeurs moyennes peuvent être des fonctions arbitrairement