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Docquois - Le Poème sans nom, 1919.djvu/278
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CXLVI
. —
Lorsque j’écris sur toi, pourquoi trouvé-je ainsi
177
CXLVII
. —
Tel poète amoureux dans ses vers se complaît
179
CXLVIII
. —
Pour te peindre, vois-tu, des cheveux aux orteils
180
CXLIX
. —
Tu parus, je t’aimai. Ces mots sont absolus
181
CL
. —
Aussi bien, puisqu’ici je remonte au déluge
182
CLI
. —
C’est d’un cœur à présent calmé, d’un sens rassis
183
CLII
. —
Oui, je te hais ; oui, je te hais, comme le prêtre
185
CLIII
. —
Tu ne sais rien de cette haine, au demeurant
186
CLIV
. —
Lorsque tu l’apprendras, ma haine, ô mon amour
187
CLV
. —
J’ai choisi le sonnet entre tous ; car il n’est
189
CLVI
. —
Selon la volonté qui me conduit — la mienne —
190
CLVII
. —
À ce reproche, tu t’irrites
191
CLVIII
. —
D’ailleurs, mon reproche est factice
192
CLIX
. —
J’étais, bien que déjà grison
193
CLX
. —
Nous avions, tous les deux, notre façon de vivre
194
CLXI
. —
Qu’aurais-tu fait de moi, si, par hasard, victime
195
CLXII
. —
Je ne pesai jamais sur ton indépendance
196
CLXIII
. —
Dieu sait, pourtant, combien j’étais de ta caresse
197