Page:Correspondance de Nicolas Poussin (Jouanny, 1911).djvu/558

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

le plus désintéressé, le plus laborieux, le plus effectif, d’une probité si extraordinaire et si éprouvée, si universelle en toutes sortes d’excellentes qualités, et en un mot si unique ». Roland Fréart y loue abondamment « ce fameux et unique peintre Monsieur le Poussin, l’honneur des Français en sa profession et le Raphael de notre siècle ».

Page 449, 13e ligne. — Voir les deux gravures des esquisses pour la Conversion de saint Paul, Magasin pittoresque de 1856, p. 196.

Félibien : diverses éditions. — Nous ferons observer que si le Ier tome des Entretiens sur les Vies et les Ouvrages des plus excellents Peintres (Paris, in-4o) a paru dès 1666 (cote de la Bibl. nat. V. 14660), l’étude sur Poussin appartient au 4e tome, paru seulement en 1685 (V. 14663), où elle occupe les pages 240 à 411. Nous lui avons emprunté les textes p. 80, 139, 202, 229.

Dans une seconde édition, en 1688, cette étude est dans le tome II ; nous l’avons utilisée p. 3, 5, 352, 358, 373.

Enfin, nos citations des p. 11, 61, 180, 208, 266, 306, 318, 403, 411, 412 sont empruntées à l’édition d’Amsterdam, 1706.