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Chapitre 

XXXIX. Que l’homme ne doit point s’attacher avec empressement à ses affaires 

 455

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XL. Que l’homme n’a rien de bon de soi-même, et ne se peut glorifier d’aucune chose  

 457

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XLI. Du mépris de tous les honneurs 

 464

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XLII. Qu’il ne faut point fonder sa paix sur les hommes, mais sur Dieu, et s’anéantir en soi-même 

 466

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XLIII. Contre la vaine science du siècle, et de la vraie étude du chrétien 

 470

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XLIV. Qu’il ne faut point s’embarrasser des choses extérieures  

 475

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XLV. Qu’il ne faut pas croire toutes personnes, et qu’il est aisé de s’échapper en paroles  

 477

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XLVI. De la confiance qu’il faut avoir en Dieu quand on est attaqué de paroles 

 485

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XLVII. Que pour la vie éternelle il faut endurer les choses les plus fâcheuses 

 491

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XLVIII. Du jour de l’éternité, et des angoisses de cette vie 

 496

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XLIX. Du désir de la vie éternelle, et combien d’avantages sont promis à ceux qui combattent 

 503

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L. Comment un homme désolé doit se remettre entre les mains de Dieu  

 512

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LI. Qu’il faut nous appliquer aux actions extérieures et ravalées, quand nous ne pouvons nous élever aux plus hautes 

 521

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LII. Que l’homme ne se doit point estimer digne de consolation, mais plutôt de châtiment  

 524

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LIII. Que la grâce de Dieu est incompatible avec le goût des choses terrestres 

 529

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LIV. Des divers mouvements de la nature et de la grâce 

 533

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LV. De la corruption de la nature, et de l’efficace de la grâce 

 545

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LVI. Que nous devons renoncer à nous-mêmes et imiter Jésus-Christ en portant notre croix 

 553