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Charles Blanc-Grammaire des arts du dessin, (1889).djvu/683
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671
TABLE DES PROPOSITIONS.
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des dimensions, la simplicité des surfaces, la rectitude et la continuité des lignes
76
VI.
Le sacrifice de l’une des trois dimensions est un élément de grandeur dans l’architecture
83
VII.
Divers sentiments s’attachent à la grandeur dans les diverses dimensions de l’architecture
84
VIII.
Les différents peuples, suivant leur génie, ont accusé dans l’architecture leur préférence pour l’une ou l’autre des trois dimensions
85
IX.
La sévérité des sentiments que l’architecture inspire est en raison de la prédominance des pleins sur les vides
91
X.
Proportion, caractère, harmonie, telles sont les trois conditions générales du beau dans l’architecture
98
XI.
En dehors des conditions générales du beau, qui sont inviolables, l’architecture varie et doit varier selon le climat, les matériaux et la configuration du sol
105
XII.
L’architecture varie suivant la forme et le caractère des supports et des parties supportées
126
XIII.
La variété des supports étant commune à plusieurs architectures, il convient de les distinguer entre elles par la forme et le caractère des parties supportées, et, quelle que soit la diversité de ces parties distinctives, on peut les ramener à deux systèmes principaux : la plate-bande et l’arc
134
XIV.
Les formes de l’architecture, dans tous les systèmes, ont différentes origines ; elles sont engendrées ou par les nécessités de la construction, ou par le besoin d’une expression poétique, ou par l’imitation de la nature.
137
XV.
L’architecture monumentale en plate-bande exprime les idées de calme, de fatalité et de durée
145
XVI.
Les Grecs, résumant l’architecture orientale des premiers âges, ont trouvé les principes de la plate-bande, en ont fixé les lois et en ont réduit le système à trois variétés qu’on appelle les trois ordres
147
XVII.
Dans l’ordre dorique, les proportions sont mâles, les formes sont indicatives de la construction, les accents de la solidité tiennent lieu d’ornement
154
XVIII.
Dans l’ordre ionique, les proportions sont élancées, les formes sont expressives, les images de la flexibilité et de la grâce remplacent les accents de la résistance et de la force
168
XIX.
Dans l’ordre corinthien, les proportions sont très élancées, les formes sont imitatives, les caractères de la magnificence et de la richesse sont substitués à la sévérité de l’ordre dorique et à la délicatesse de l’ordre ionique
180
XX.
Aux trois ordres se rattachent quelques variétés qui en sont dérivées, et que l’on a improprement appelées des ordres en les désignant sous les noms d’ordre toscan, d’ordre composite et d’ordre cariatide
195
XXI.
Le seul emploi des ordres et des nuances qui les séparent ne suffit pas à donner leur caractère et leur beauté aux monuments de l’architecture en plate-bande ; il y faut encore le concours de tous les autres membres de l’édifice
200
XXII.
Le caractère et la beauté des trois ordres varient suivant le plan de l’édifice où on les emploie, et suivant le nombre, la disposition et l’espacement des colonnes
220
XXIII.
D’autres conditions sont nécessaires à la beauté des trois ordres : le
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