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Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/335
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IX.
Les Féeries de la mer
242
X.
Ô bon soleil, par qui tout se métamorphose
246
XI.
Que la brise du ciel est légère et joyeuse
248
XII.
L’air m’enveloppe et me caresse
250
XIII.
Mon cœur saigne en voyant passer les belles filles
254
XIV.
Sans but, j’ai devant moi cheminé nuit et jour
257
XV.
N’est-il pas un remède, et ne guérit-on pas ?
259
XVI.
Pourquoi tenter d’aimer ? Solitaire et farouche
262
XVII.
Une nuit je marchais dans la campagne obscure
264
XVIII.
Tu m’as tendu les bras, ô puissante déesse
266
XIX.
Dans les splendeurs orientales
268
XX.
Éteignant ses pâles étoiles
274
XXI.
Allons, la mer est belle et la brise se lève
277
XXII.
À lord Byron
279
XXIII.
Par une nuit d’été délicieuse et triste
281
XXIV.
L’océan qui roule sa plainte
286
XXV.
L’Art
290
XXVI.
Nous portons les flambeaux qui doivent luire au monde
293
XXVII.
Pour le jour des morts
295
XXVIII.
Hélas ! Il est trop vrai, le temps seul est vainqueur
297
XXIX.
Les mendiants sans pain qui vont vendant des fleurs
300
XXX.
Vin de topaze, d’or, de rubis, d’améthyste
302
XXXI.
Je suis donc enfermé dans cette étroite chambre
304
XXXII.
Adieu la mer ! je suis repris
306
XXXIII.
Oui, pour Dieu. Je ferai palpiter dans les cieux
308
XXXIV.
Épilogue
311
FIN DE LA TABLE.