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Bouchor - Les Poëmes de l’amour et de la mer, 1876.djvu/333
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XLIX.
Elle devait partir au point du jour. Mes yeux
104
L.
Oh ! par le ciel qui fut si tranquille et si bleu
106
LA MORT DE L’AMOUR
.
I.
J’étais l’enfant sacré de la grande Nature
111
II.
Paris, terrible et grand — aussi grand que la mer
113
III.
Chant d’amour
115
IV.
Nos souvenirs, toutes ces choses
117
V.
C’est novembre. C’est le mois
119
VI.
Le Souvenir
121
VII.
Moi, par la neige et par la bise
123
VIII.
Mon amour d’antan, vous souvenez-vous ?
125
IX.
Ses cheveux avaient les parfums étranges
127
X.
Les souvenirs les plus lointains
128
XI.
Las ! où sont les neiges d’antan ?
130
XII.
Me rappelant, l’âme charmée
132
XIII.
Tu t’en venais à moi par les longs soirs d’hiver
134
XIV.
Aimée, aux jours lointains où nous nous reverrons
135
XV.
Quand verrons-nous comme autrefois
137
XVI.
Souviens-toi ! c’était un matin d’automne
142
XVII.
Par les larmes que j’ai versées
144
XVIII.
Tout m’obsède. Le bruit incessant des voitures
146
XIX.
En mer
149
XX.
J’ai revu le jardin où nous avions aimé
150
XXI.
Nos sentiers aimés s’en vont refleurir
152
XXII.
Tu reviendras un jour, et nous nous aimerons
154
XXIII.
Dans votre solitude, ô bois sombres et doux
159
XXIV.
Que le vaisseau léger, que la lune propice
161
XXV.
Printemps triste
163
XXVI.
Non, ce n’est pas l’hiver, le printemps ni l’automne
166