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Mon ignorance révolutionnaire. — Henriot levait l’impôt du marché. — Scènes de pillage et de probité. — Remarques sur l’affaire Réveillon. — Le peuple contre les soldats. — Simple observation 
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Le 12 juillet. — Les violons quittent le bal. — Vive le Tiers-État ! — Crier sans comprendre. — Le 13 au matin. — Au Palais-Royal. — La cuisinière aux écus. — Dans l’église de ma paroisse. — Ces gros aristocrates. — Les bras retroussés. — « Vous tromper le peuple. » — Tous coquins. — À la santé du Tiers-État. 
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Le 14 juillet. — Thuriot de la Rozière va aux renseignement. — Quarante mille fusils aux Invalides. — La cocarde verte. — Dans le courant. — Le peuple était debout. — Ce que j’ai vu. — Les femmes et les enfants servaient le feu. — La trahison du mouchoir blanc. — La capitulation. — Dans la Bastille. — Sur les tours. — Les vrais vainqueurs 
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Au service de la Commune. — Motions d’ordre. — Hullin commandant provisoire. — Le renvoi des ouvriers de Montmartre. — Cinquante sous par jour. — Les intrigants. — Je proteste. — Mon altercation avec Hullin. — Ces messieurs. — Projets d’organisation. 
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Le 5 octobre. — Pour avoir du pain. — Il fallut marcher. — Le Boulanger, la Boulangère et le petit Mitron ! — Escarmouche avec les gardes-du-corps — Les officiers de la Bouche-du-Roi. — L’arrivée de Lafayette. — Le Roi au balcon avec sa famille. — Les gardes-du-corps se dégradent. — Comment Lafayette fut forcé d’aller a Versailles. — Sans commentaires 
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La révolte des paysans à Vernon. — Le général ne venait pas. — Aucune résistance. — Chicane au sujet de la solde. — Ma grande colère. — Nouvelles incorpo—