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Aimard - Les Peaux-Rouges de Paris.djvu/455
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DEUXIÈME PARTIE
LES FAUVES DES SAVANES
I. —
Ce que c’était que l’hôtel de la Providence et maître Laframboise, son propriétaire
203
II. —
Comment Cœur-Sombre et le Mayor se trouvèrent en présence et de ce qu’il advint
220
III. —
Dans lequel Felitz Oyandi joue une partie décisive et la perd
237
IV. —
Comment Armand de Valenfleurs partit en chasse avec son chien Dardar, et quelle découverte il fit dans la savane, au pied d’un rocher
253
V. —
Comment Armand présenta sa dernière trouvaille à sa mère et ce qui s’ensuivit
271
VI. —
Où Charbonneau, le chasseur canadien, se dessine
289
VII. —
Comment le Mayor fut, une seconde fois, fait échec et mat non seulement par ses alliés, mais encore par ses ennemis
307
VIII. —
Où la nuit se fait de plus en plus épaisse autour de la gentille protégée de la comtesse de Valenfleurs
325
IX. —
Comment le Cœur-Sombre résolut tout à coup de pousser une pointe dans le désert, afin de ne pas accompagner plus longtemps la comtesse
348
X. —
Où le Cœur-Sombre trouve à l’improviste le prétexte qu’il cherchait pour retourner au plus vite à la Florida
364
XI. —
Dans lequel le Mayor et Felitz Oyandi causent de leurs petites affaires
380
XII. —
Dans lequel bien des choses intéressantes sont racontées, qui sont indispensables pour l’intelligence de cette véridique histoire
398
XIII. —
De la grande joie qu’éprouvent quatre de nos principaux personnages, grâce à la comtesse de Valenfleurs
418
ÉMILE COLLIN — IMPRIMERIE DE LAGNY