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Pourquoi les prairies étant peintes de diverses couleurs ne paraissent de loin que d’une seule. | 58 |
Pourquoi tous les corps se voient moins distinctement de loin que près | 59 |
Comment la grandeur de, l’image sert à rendre la vision plus distincte. | ibid. |
Comment on connait vers quel côté est l’objet qu’on regarde, ou celui qu’on montre du doigt sans le toucher, | ibid. |
Pourquoi le renversement de l’image qui se fait dans l’œil n’empêche pas que les objets ne paraissent droits. | 60 |
Pourquoi ce qu’on voit des deux yeux ou qu’on touche des deux mains ne parait pas double pour cela. | ibid. |
Comment les mouvements qui changent la figure de l’œil servent à faire voir la distance des objets. | 61 |
Qu’encore que nous ignorions ces mouvements, nous ne laissons pas de connaitre ce qu’ils désignent. | ibid. |
Comment le rapport des deux yeux sert aussi à faire voir la distance. | ibid. |
Comment on peut voir la distance avec un œil seul en lui faisant changer de place. | 62 |
Comment la distinction ou confusion de la figure et la débilité ou la force de la lumière sert aussi à voir la distance, | ibid. |
Que la connaissance qu’on a eue auparavant des objets qu’on regarde sert à mieux connaitre leur distance. | 63 |
Comment la situation de ces objets y sert aussi | ibid. |
Comment on voit la grandeur de chaque objet. | ibid. |
Comment on voit sa figure. | 64 |
Pourquoi souvent les frénétiques ou ceux qui dorment pensent voir ce qu’ils ne voient point. | ibid. |
Pourquoi on voit quelquefois les objets doubles. | 65 |
Comment l’attouchement fait aussi quelquefois juger qu’un objet soit double. | ibid. |