Obermann (1804 - 2e éd, 1833)
Charpentier (p. 257).

LETTRE LVI.

Thun, 2 mai, VIII.

Il faut que tout s’éteigne ; c’est lentement et par degrés que l’homme étend son être, et c’est ainsi qu’il doit le perdre.

Je ne sens plus que ce qui est extraordinaire. Il me faut des sons romantiques pour que je commence à entendre, et des lieux nouveaux pour que je me rappelle ce que j’aimais dans un autre âge.