Eugène Fasquelle (p. 72).



Colette ne comptait plus sur un miracle pour s’en aller ; et pourtant, elle ne pouvait se résigner à rester dans cette maison.

Quand elle vit partir une à une toutes celles qui avaient son âge, elle commença de se révolter. Elle ne voulut plus aller à confesse, ni communier ; elle allait à la messe, parce qu’elle chantait et aimait la musique.

Je restais souvent près d’elle pour la consoler.

Elle m’expliquait que le mariage, c’était l’amour.