Ma confession/Chapitre 16

Traduction par Zoria.
Albert Savine (p. 242-247).
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XVI


Je cessai de douter, et je fus complètement convaincu que dans la doctrine de cette foi à laquelle je m’étais rallié, tout n’était pas vérité.

Auparavant j’aurais dit que tout l’enseignement était faux, mais maintenant je ne le pouvais plus.

Tout le peuple avait la connaissance de la verité, c’était indubitable, puisque autrement il n’aurait pas pu vivre. En Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/257 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/258 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/259 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/260 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/261