Ma confession/Chapitre 15

Traduction par Zoria.
Albert Savine (p. 226-241).
◄  XIV.
XVI.  ►
XV


Combien de fois j’enviais aux paysans leur ignorance et leur simplicité ! Dans ces thèses qui ne m’offraient que des non-sens évidents, il n’y avait rien de faux pour eux ; ils pouvaient les admettre et croire à leur vérité, à cette vérité à laquelle je croyais aussi.

Seulement à moi, malheureux, il était clair que la vérité était entremêlée des fils les plus fins du mensonge et que Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/241 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/242 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/243 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/244 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/245 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/246 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/247 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/248 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/249 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/250 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/251 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/252 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/253 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/254 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/255