Mémoires posthumes de Braz Cubas/Chapitre 107

Traduction par Adrien Delpech.
Garnier Frères (p. 361).


CVII

Le billet


« Il ne s’est rien passé, mais il se doute de quelque chose. Il est sérieux, il se tait. Maintenant, il vient de sortir. Il a seulement souri une fois à Nhonho, après l’avoir longtemps regardé d’un air sombre. Je ne sais trop ce qui va arriver. Dieu veuille que rien de grave ne se produise. Beaucoup de prudence pour l’instant, beaucoup de prudence ! »