Livre:Le Chansonnier de la Mère Radis ou les goguettes de la Villette et des Faubourgs, 1816.djvu

Titre	Le Chansonnier de la Mère Radis ou les goguettes de la Villette et des Faubourgs
Auteur	Collectif
Maison d’édition	Locard et Davi
Lieu d’édition	Paris
Année d’édition	1816
Bibliothèque	Gallica
Fac-similés	djvu
Avancement	À corriger

Pages

np np np 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143

TABLE DES CHANSONS
CONTENUES DANS CE VOLUME.

Cadet-Buteux chez la Mère Radis. Pot-pourri.

Voilà l’ coco.

Çà vous va-t-i ben, çà n’vous bless’-t-i pas ?

V’là qu’est dit, et v’là qu’est fait, ou l’amoureux expéditif.

Monsieur et Madame Pépin ou la promenade à Romainville.

Madame Grégoire.

Roul’ ta bosse, ou conseils à un bossu.

Questions et aveux d’une Ingénue, avant et après son mariage..

M. Réjoui, ou on n’est pas plus heureux qu’ça.

On n’est pas plus nigaud qu’ça. Ronde villageoise.

Ronde bachique.

Le petit Gargantua.

Les embarras d’un Sergent-Major de la Garde nationale.

Ah ! qu’ c’est commode ! Impromptu grivois.

Respect aux casquettes. Chanson pastorale.

Les amours d’un jeune Tambour.

Les aventures d’un Trompette, ou le moyen de faire son chemin.

Joconde, ou la fille sensible et malheureuse.

Les effets du printemps.

Çà n’avance à rien.

Mon Dieu qu’les cocus sont heureux !

L’Enfant de chœur de Cythère.

Vie d’un Gamin.

La promenade sentimentale au canal de l’Ourcq.

Le Pompier, ou vive la pompe.

Appel aux Gourmands.

Le Berger bien sage, et celui qui ne l’est pas.

La partie de Saint-Cloud.

Une aventure de corps-de-garde.

Cadet-Buteux au boulevard du Temple.

Ton, ton, tontaine, ton, ton.

Le nouveau Débarqué.

Le Boulanger malheureux.

Oraison funèbre de Fanfan-Dubélair.

Éloge du Café.

Reproches de mam’zelle Sophie à son amant Hyppolite.

J’m’en… ris.

V’là c’que c’est qu’d’avoir d’l’esprit.

N’planchez pas les amis.

Il est temps. Chansonnette.

Quinze ans d’absence.

Récupérée de « https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Livre:Le_Chansonnier_de_la_Mère_Radis_ou_les_goguettes_de_la_Villette_et_des_Faubourgs,_1816.djvu&oldid=12329598 »