Livre:Guérin - Le Cœur solitaire, 1898.djvu
Titre | Le Cœur solitaire |
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Auteur | Charles Guérin |
Maison d’édition | Édition du Mercure de France |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1898 |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Série | Éditions : 1898, 1904 |
Pages
I. — O mon ami, mon vieil ami, mon seul ami 9
II. — Souffrir infiniment, souffrir, souffrir assez 12
III. — Soirs de stérilité qui font l’âme plus sèche 13
IV. — Stériles nuits d’hiver où ton âme de pauvre 16
V. — L’épi, frêle ciboire, est courbé sous l’hostie 18
VI. — Aime : la bouche aimée est savoureuse et chaude 19
VII. — Je voudrais être un homme ; or rien dans mes poèmes 20
VIII. — Avec le ciel doré, le vent, la voix des chênes 22
IX. — Sur nos pas le profond Enfer s’est refermé 25
FENÊTRES SUR LA VIE
X. — Qu’on ouvre la fenêtre au large, qu’on la laisse 29
XI. — Ce soir, après la pluie, est doux ; soir de septembre 31
XII. — Vieilles femmes des champs, vos âmes sont plus simples 34
XIII. — Le ciel est pur, l’eau transparente, et l’air du soir 37
XIV. — Charme indéfinissable et fin, le soir d’été 42
XV. — Au seuil de sa prison charnelle, l’âme écoute 45
XVI. — Le soir léger avec sa brume claire et bleue 48
XVII. — A FRANCIS JAMMES 53
LES MELANCOLIES PASSIONNÉES
XVIII. — Le ciel pâlit, la terre humide et reposée 59
XIX. — Le ciel profond reflète en étoiles nos larmes 60
XX. — Je te vois anxieuse et belle de pâleur 61
XXI. — Souvent, le front posé sur tes genoux, je pleure 62
XXII. — Encore un peu ta bouche en pleurs, encore un peu 63
XXIII. — Ma pauvre sœur, ma pauvre enfant, sois forte et calme 64
XXIV. — Je t’apporte, buisson de roses funéraires 65
XXV. — Quel est ce lied qui fait son nid dans mon silence 67
XXVI. — Que la nuit m’enveloppe et dorlote ma peine 69
XXVII. — Parfois, sur les confins du sommeil qui s’achève 71
XXVIII. — Qui de vous n’a connu les soirs où l’on écoute 74
XXIX. — Ne mêle pas l’esprit aux choses de la chair 76
ORPHÉE ET OPHÉLIE
XXX. — Avec ses espaliers de luxure et de fastes 81
XXXI. — Les rossignols chantaient sur le tombeau d’Orphée 82
XXXII. — Comme un roseau plaintif au bord de la rivière 85
ROSÉES AUX POINTES DES HERBES
XXXIII. — Sois pure comme la rosée 89
XXXIV. — Je t’aime, parce que tu dores 91
XXXV. — Je t’aime, parce que tu dors 93
XXXVI. — Heures de pluie, heures de peine 94
XXXVII. — Il a plu. Soir de juin. Ecoute 96
XXXVIII. — La corde sourde vibre encore 97
XXXIX. — Dans les soirs d’ombre où mon cœur saigne 100
XL. — Chansons, chansons, chansons, chansons 103
XLI. — Puisque l’ennui, pauvre homme 105
XLII. — Ce cœur plaintif, ce cœur d’automne 109
L’AUTOMNE AU JARDIN
XLIII. — O Veille de Toussaint et dernier soir d’octobre 113
XLIV — Le tiède après-midi paisible de septembre 115
XLV. — Je pense à la maison tranquille, ô mon ami 120
L’INQUIÉTUDE DE DIEU
XLVI. — Ce serait bon : donner toute sa vie à Dieu 123
XLVII. — En vérité, je vous le dis, heureux les simples 124
XLVIII. — Jardinier, jardinier, que ta maison soit gaie 125
XLIX. — Ce cœur, mon Dieu, qu’avec des pleurs de sang je t’offre 126
L. — Le sable clair du temps fuit des plus larges mains 127
LI. — Celui qui n’a que sa tristesse pour génie 128
LII. — Je vais mourir, je vais bientôt mourir, qu’on ouvre 131
LIII. — Entrerai-je ce soir, Seigneur, dans ta maison 134
LIV. — Le sombre ciel lacté se voûte en forme d’arche 138