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I. — O mon ami, mon vieil ami, mon seul ami 9

II. — Souffrir infiniment, souffrir, souffrir assez 12

III. — Soirs de stérilité qui font l’âme plus sèche 13

IV. — Stériles nuits d’hiver où ton âme de pauvre 16

V. — L’épi, frêle ciboire, est courbé sous l’hostie 18

VI. — Aime : la bouche aimée est savoureuse et chaude 19

VII. — Je voudrais être un homme ; or rien dans mes poèmes 20

VIII. — Avec le ciel doré, le vent, la voix des chênes 22

IX. — Sur nos pas le profond Enfer s’est refermé 25

FENÊTRES SUR LA VIE

X. — Qu’on ouvre la fenêtre au large, qu’on la laisse 29

XI. — Ce soir, après la pluie, est doux ; soir de septembre 31

XII. — Vieilles femmes des champs, vos âmes sont plus simples 34

XIII. — Le ciel est pur, l’eau transparente, et l’air du soir 37

XIV. — Charme indéfinissable et fin, le soir d’été 42

XV. — Au seuil de sa prison charnelle, l’âme écoute 45

XVI. — Le soir léger avec sa brume claire et bleue 48