Livre:Bouchette - L'Indépendance économique du Canada français, 1906.djvu

TitreL’indépendance économique du Canada français
AuteurErrol Bouchette Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionLa Cie d'Imprimerie d'Arthabaskaville
Lieu d’éditionArthabaska
Année d’édition1906
BibliothèqueBAnQ (160504.pdf)
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TABLE DES MATIÈRES


 
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I
Situation du Canada dans l’empire. — Caractère des institutions britanniques modernes. — Relations du Canada avec les Etats-Unis. — Avenir des deux races canadiennes 
 7


II
Importance de la question sociale. — Il est du devoir de tous les citoyens de s’en occuper. — Le socialisme théorique et la véritable science sociale. — La constitution canadienne est de nature à faciliter les solutions sociales. — Rôle des gouvernements provinciaux 
 22

III
Étendue territoriale de la confédération. — Comparaison avec d’autres pays. — Population et ressources des régions de l’ouest, du centre et de l’est. — Avantages agricoles et industriels. Importance primordiale de la forêt 
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IV
Son développement numérique. — Insuffisance de l’instruction primaire et manque de connaissances pratiques. — Défaut social de la race et ses conséquences. — Plus avancés socialement que les Français, au début du 19e siècle, les Canadiens-français paraissent maintenant en retard. — Faiblesse économique des Canadiens-français. — Ses causes. — Signes encourageants pour l’avenir 
 60

V
Le Canada français souffre vivement du défaut de développement industriel. — Il a perdu par cette cause une moitié de sa population. — Conséquences sociales alarmantes qui en découlent. — Aptitude remarquable des Canadiens-français pour les entreprises industrielles 
 98
VI
La sève française coulera toujours sous l’écorce de l’arbre canadien. — Importance égale de deux races en ce pays maintenant et dans l’avenir. — Elles doivent se pénétrer l’une et l’autre, tout en conservant leurs qualités spéciales, pour former un type supérieur. — Nécessité d’une plèbe socialisée et d’une élite intellectuelle 
 126

VII
Influence de l’éducation des individus sur la formation sociale d’un peuple. — L’enseignement au point de vue national. — La modification des études classiques. — Nécessité absolue d’une meilleure instruction primaire. 
 145
VIII
Causes de la faiblesse économique des Canadiens-français. — Ils pourraient s’emparer de leur industrie nationale. — Toutes les circonstances naturelles leur sont favorables. — Ils ne manquent ni d’aptitudes ni de capital, mais seulement d’instruction et d’habitude des affaires. — Les nouveaux venus tendent à se superposer à eux et à les reléguer au second plan 
 165

IX
Le moment est venu de nous emparer de notre industrie nationale. — Nous devons le faire en nous attachant surtout aux industries forestières. — Possibilité de leur donner un grand développement et même une importance mondiale. — Instruction industrielle populaire et protection des forêts 
 193
X
Ce que c’est que l’instruction industrielle populaire ; ne pas confondre avec l’instruction technique. — Son importance reconnue dans tous les pays. — Écoles continuées de France qui recueillent l’élite de la nation. — Efforts extraordinaires de l’Allemagne. — Comment adapter notre système aux besoins du temps présent 
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XI
La question forestière. — Son importance et les difficultés sociales et économiques qu’elle présente. — État actuel de nos forêts. — Opinion de Mgr  Laflamme sur la manière de les conserver et de les exploiter. — Ce que demande l’opinion publique. — Ce que font les gouvernements. — Ce qu’ils devraient faire 
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XII
Rôle essentiel d’une société des industries forestières. — Son action dans le pays et à l’étranger. — Formation de syndicats de colons. — Établissement de grandes fabriques. — Perfectionnement du système de crédit industriel. — Effets presque certains d’une telle organisation 
 277