Livre:Œuvres de Madame des Houlieres, tome 2, 1798.djvu
Titre | Œuvres de Madame des Houlières |
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Sous-titre | Nouvelle édition, dédiée au sexe amateur de la poésie agréable |
Volume | Tome second |
Auteur | Antoinette-Thérèse Des Houlières |
Maison d’édition | Desray |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | an VII-1798 |
Bibliothèque | Gallica |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Série | 1 2 |
Pages
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TABLE DES POÉSIES
CONTENUES DANS LE SECOND VOLUME.
ADIEUX.
Aux Muses.
Allez, Muses, éloignez-vous,
page 366
A l’Amour.
* Non, cruel Amour, non, jamais,
346
AIRS.
Cessez de m’agiter et la nuit et le jour,
273
Charmante Aurore, enfin vous voilà de retour,
259
* Charmans échos de ces bocages,
276
Dans un bois sombre et solitaire,
20
De mes cruels ennuis, de mes cruels malheurs,
308
Fuyez, plaisirs, fuyez avec tous vos appas,
299
La campagne a perdu les fleurs qui l’embellissent,
35
Le chant des rossignols, la charmante verdure,
344
* Les aquilons, par leurs ravages,
275
Non, non, je ne suis plus à plaindre,
262
Non, rien ne peut égaler mon ennui,
292
Passez, beaux jours, passez ; ceux qui doivent vous suivre,
301
Pourquoi revenez-vous, printemps ? qui vous rappelle ?
296
Qu’est devenu cet heureux temps ?
13
Que serviroit, hélas ! au printemps de paroître,
313
Que vous êtes longé à venir,
247
Suivi des rossignols, des zéphyrs, des amours,
14
Taisez-vous, rossignols, votre tendre ramage,
303
Triomphez, aimable printemps,
8
Tu m’arrache à ce que j’aime,
297
Venez, petits oiseaux, sous ces charmans ombrages,
341
Venez, venez à mon secours,
273
Vous revenez suivi de Zéphyre et de Flore,
296
BOUQUETS.
A Madame ***.
Mille amans aujourd’hui célèbrent votre fête,
345
A madame de Harley de Chanvallon, abbesse de Port-Royal.
Vous en qui l’on trouve a-la-fois,
274
CAPRICE.
Quels sont encor les maux que le ciel me prépare,
269
CHANSONS.
* Belle jeunesse,
355
* Brisons nos armes,
354
Fuyons ce désert enchanteur,
256
* Venez, Amour, venez embellir la nature,
345
ÉGLOGUES.
Daphnis, le beau Daphnis, l’honneur de ces hameaux,
256
Errez, mes chers moutons, errez à l’aventure,
319
ÉPIGRAMMES.
Ægidii Menagii epigramma, &c.
248
La même, imitée en français.
On ne doit pas être surpris,
249
ÉPITRES, LETTRES, BILLETS, &c.
De madame des Houlières à Monseigneur, sur son départ pour l’Allemagne.
Partez, jeune héros, partez,
60
A monseigneur le Duc de Bourgogne, sur la prise de Mons.
Toi, chez qui la raison devance les années,
25
A M. Fléchier, évêque de Nîmes.
Damon, que vous êtes peu tendre,
84
Au P. de la Chaise, épître chagrine.
Sous le débris de vos attraits,
41
A M. de Pontchartrain.
Pour l’état, votre temps est un bien précieux,
17
A. M. le Pelletier de Souzi.
Je ne saurois m’en empêcher,
31
A M. Arnault, fermier-général.
Après que tous les élémens,
68
A M. Caze, pour le jour de sa fête.
On dit que je ne suis pas bête,
20
A M. l’abbé de Lavau.
Il est aujourd’hui votre fête,
54
A. M. Thevart, médecin.
D’où vient, Damon, que la nature,
234
A madame la Comtesse d’Alègre.
Non, charmante Iris, dans ma lettre,
65
A madame d’Ussé.
Quelqu’un qui n’est pas votre époux,
49
A madame ***, en prose et en vers.
Je croyois, ce matin, ne vous aimer plus, madame,
14
A madame ***, épître chagrine.
Supportez un peu mieux, Silvie,
225
A la Goutte.
Fille des Plaisirs, triste Goutte,
36
De mademoiselle des Houlières au Roi.
Héros, dont les vertus, les grandes actions,
356
Au Maréchal Duc de Vivonne.
Le ciel me préserve, beau sire,
256
A M. d’Argenson, sur le rétablissement de sa santé.
* Du dieu qui préside au Parnasse,
348
A M. de Benserade.
Illustre Damon, votre absence,
250
Au même.
Laissez en paix tous vos confrères,
255
Au même.
Enfin, Damon, enfin vous voici de retour,
263
A M..la : Rivière.
* Damon, ne croyez pas que je sois insensible,
351
Au même.
* Ami trop galant et trop tendre,
354
Au même.
* Plus je rêve, et plus j’examine,
360
A M. Caze.
Quand l’hiver avec rage, avec fureur commence,
261
Au même.
Ô vous, à qui je dois le portrait précieux,
267
A monsieur ***.
Vous de qui les prudens conseils,
306
A madame la Comtesse de B***.
* Recevez, comtesse divine,
294
A madame ***.
Ne grondez plus, vous serez satisfaite,
295
A mademoiselle ***.
Hélas ! où vous engagez-vous,
328
De monsieur *** , à mademoiselle des Houlières.
Votre tendre chanson, Philis, me fait comprendre,
304
De M. de Benserade à la même.
Jeune et charmante des Houlières,
252
De M. de la Rivière à la même.
* Je n’ose déclarer, et Cloris n’ose entendre,
350
Du même à la même.
* Fille d’une aigle, aigle vous-même,
352
Du même à la même, en vers et en prose.
* Voici, mademoiselle, l’état de ce que vous me devez,
359
De M. Caze à la même, en prose et en vers.
Je ne sais, mademoiselle,
239
Du même à la même.
Charmante Iris, ce matin quand l’aurore,
265
Du même à la même.
Pourquoi vous figurer que le ciel vous prépare,
271
FRAGMENS.
* De l’opéra de Zoroastre et de Sémiramis,
204
* De la tragédie de Jule Antoine,
209
D’une pièce de poésie inconnue,
238
HYMNES.
A la Paix.
Venez, fille du ciel, descendez sur la terre,
342
A l’Amour.
Lorsque le printemps nous sépare,
343
IDYLLES.
La Solitude.
Charmante et paisible retraite,
4
Sur la mort de M. le Duc de Montausier.
Sur le bord d’un ruisseau paisible,
9
IM-PROMPTU.
* Des Houlières, je sens que ma bile s’allume,
349
INVOCATIONS.
Au Soleil.
* Brillant soleil, hâte-toi de paroître,
275
Au Sommeil.
* Divin sommeil, doux calme de nos sens,
346
MADRIGAUX.
Au milieu des frimats, des glaçons et des neiges,
325
Au milieu des plaisirs d’une superbe fête,
268
Chère ombre de Tircis, hélas ! où fuyez-vous,
332
Dans un bois sombre, solitaire,
263
De lauriers immortels mon front est couronné,
247
De tous les bergers de nos bois,
262
Pour bien aimer, pour mériter de plaire,
297
Redoublez vos fureurs, terribles aquilons,
299
Rossignols, n’est-ce point assez,
308
Tombez, feuilles, tombez ; d’un destin rigoureux,
309
* Tircis, Tircis, par un refus,
276
* Tircis voudroit cacher le beau feu qui l’enflamme,
294
Au Roi.
Louis, que vous imitez bien,
72
De l’Amour à M. Caze.
De par Iris, ta souveraine,
258
Réponse de M. Caze à l’Amour.
Aux ordres de ma souveraine,
ibid.
De monsieur ***.
Du plaisir d’une amour nouvelle,
313
Réponse de mademoiselle des Houlières.
Du plaisir d’une amour nouvelle,
314
De M. Turgot de Saint-Clair.
La chimère que vous blâmez,
82
Réponse de M. Turgot de Saint-Clair.
Vous qui vous couronnez de rameaux toujours verts,
83
A l’Aurore, pour le départ de M. Caze.
Ha ! ne te presse point, déesse, de paroître,
298
Pour M. Doujat.
D’un madrigal on veut que je régale,
335
A M. de la Rivière.
Vous en qui d’un ami fidèle,
341
A monsieur ***.
Avec moins de beauté que Philis et Climène,
358
A messieurs Garnier et Acéré.
Revenez, revenez, tout ici vous rappelle,
309
De M. Charpentier à mademoiselle des Houlières,
* Vous à qui du destin les bontés singulières,
293
D’une dame à mademoiselle des Houlières.
* Si le fameux Pétrarque étoit encore en vie,
349
ODES.
Celle qui remporta le prix à l’Académie Française.
Toi, par qui les mortels rendent leurs noms célèbres,
241
Autre.
Le plus beau des mois,
321
PARAPHRASES.
Du pseaume xii, Usquequo, Domine.
Vous, du vaste univers et l’auteur et le maître,
88
Du pseaume xiii, Dixit insipiens.
Non, il n’est point de Dieu ; ses foudres redoutables,
91
Du pseaume cxlv, Lauda, anima mea, Dominum.
Moname, louons le Seigneur,
95
PARODIE d’une scène du CID.
Percé jusques au fond du cœur,
201
PLACET au Roi.
Héros, dont les faits éclatans,
236
PRIERE pour le Roi.
Ah ! Seigneur, pour Louis ne nous alarme plus,
246
RÉFLEXIONS chrétiennes.
Au milieu des ennuis, au milieu des alarmes,
310
Réflexions morales.
La savante Chéron, par son divin pinceau,
75
RONDEAUX.
Au dieu charmant vous pouvez bien encore,
327
Au nom d’Amour tout devenoit facile,
337
Coiffé d’un vilain bonnet gras,
57
Contre l’Amour qu’osez-vous entreprendre ?
338
Entre deux draps de toile belle et bonne,
24
En me servant que peut-on espérer ?
340
En vous servant je ne puis aspirer,
339
STANCES.
Sur la paix de Riswich.
Dans un de ces beaux lieux chéris de la nature,
335
Sur la mort de M. Caze.
J’ai perdu ce que j’aime, et je respire encore,
300
A Apollon.
* O toi, qui fus toujours propice à mes efforts,
364
Douleur
Quel sort au mien est comparable,
301
Sur les victoires de Louis xiv.
Fille du ciel, aimable paix,
1
Sur la mort de madame des Houlières.
Ici, Muses, ici que venez-vous chercher,
314
Pour avoir été mise dans le Dictionnaire universel.
Venez, Muses, venez ; venez mêler des fleurs,
317
Stances en galimatias fait exprès.
* Cessez de me flatter d’un espoir légitime,
361
TRAGÉDIES.
Genseric,
101
TRISTESSE
* Chagrins cuisans, amertume cruelle,
363
LA TUBÉREUȘE.
A madame ***.
Sans me plaindre de la nature,
73
VERS sur la gloire.
* Frivole espoir, qui séduis les humains,
347
Vers allégoriques de madame des Houlières à ses enfans.
Dans ces prés fleuris,
57
Vers de M. de Mautour sur la mort de mademoiselle des Houlières.
Des Houlières n’est plus, cette digne héritière,
367
FIN DE LA TABLE DU TOME SECOND.