Les Femmes célèbres contemporaines françaises/Farrenc

, Alfred de Montferrand, Lesguillon
(p. 391-404).
Mme Farrenc.
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Elle serait donc aussi parfaitement heureuse qu’une femme est destinée à l’être en ce monde, sans la mémoire qui lui rappelle à chaque instant tout ce qu’elle a perdu d’avantages et d’espérances, tout ce qu’elle a perdu d’illusions ! Elle serait donc heureuse, car elle n’a point d’ambition, car elle n’a qu’un besoin, celui d’aimer, celui d’être aimée ; et si ce besoin satisfait est le bonheur même, il est aussi le plus cruel des supplices tant qu’il n’est qu’un vœu secret de l’âme, un vague et douloureux désir du cœur, un perpétuel soupir d’espérance ! Oh ! oui, encore une fois, oui, le malheur, c’est le poëte !!!

Constant Berrier.