Traduction par Edmondo Fazio alias Edmond Fazy.
E. Sansot (p. 40).

21. — CRI DU CŒUR[1]

On causait amour, dans un couvent de filles. On comparait les ecclésiastiques et les laïques en ce point. Tout à coup, la plus jeune des nonnes s’écria :

— « Laissez-moi tranquille avec vos curés, vos moines, vos prieurs, vos évêques et votre Saint-Père le Pape lui-même ! Je ne peux pas souffrir ces pourceaux. J’aimerais mieux avoir sur le ventre ou sur le dos dix laïques qu’un seul verrat d’Église ! »

  1. Livre II, 49. De virgine quadam.