La Divine Comédie (Lamennais 1863)/Introduction/Doctrines de Dante

Traduction par Félicité Robert de Lamennais.
Didier (1p. 50-64).



IV


DOCTRINES DE DANTE


Tout homme est de son siècle. Quels que soient son génie, sa puissance personnelle, il se meut toujours, à bien peu près, dans la sphère des idées reçues, aspirant au delà, il est vrai, et, à l’aide d’une vue plus perçante, montrant à ceux qui le suivit quelque perspective jusqu’alors cachée, un terme encore lointain vers lequel désormais, pleins d’un désir inquiet, ils ne cesseront de marcher, incapables de repos jusqu’à ce qu’ils l’atteignent. Ainsi va se modifiant l’état de l’esprit humain, ainsi de proche en proche s’accomplit le progrès ; et ce mouvement qui n’est que la loi même d’évolution de l’humanité, il n’est pas plus possible de l’arrêter, que de le hâter par la suppression des points intermédiaires. De là, dans la société, une double tendance, l’une à conserver ce qui est, l’autre à le détruire en le transformant, car rien ne naît sans germe, et, de quelque manière qu’il y soit enveloppé, le germe de l’avenir est dans le présent, qui lui-même eut le sien dans le passé.

Au siècle de Dante, la théologie dominait toutes les autres sciences[1], et avec raison en un sens, puisqu’elle en est la plus générale, qu’elle part de la cause première, universelle et absolue, pour descendre aux causes dérivées et particulières. Indépendante, à ce point de vue, des religions diverses et de leurs dogmes variables, elle se confond néanmoins de fait avec ces religions chez les différents peuples dont elles déterminent les croyances, sur tant de points opposées entre elles. Ainsi, dans le cours des âges se produisirent les théologies égyptienne, brahmanique, mazdéenne, juive, musulmane, chrétienne. Celle-ci dut être nécessairement la théologie de Dante, né chrétien, et qui vécut chrétien sincère.

Pour bien comprendre l’esprit de son temps et ses opinions propres, on ne doit pas oublier que la religion chrétienne se compose d’une doctrine qui est l’objet de la foi exigée, et d’une institution extérieure, d’un corps sacerdotal dépositaire de cette doctrine, et préposé au gouvernement de la société qui la professe, société qu’on appelle l’Église. Constitué hiérarchiquement, le sacerdoce, sous sa forme définitive, eut pour chef le pontife romain, dont la puissance, accrue par une suite d’entreprises hardies et patientes, et aussi par une conséquence logiquement rigoureuse du principe de l’institution, avait d’abord lutté avec gloire, et au bénéfice de l’humanité, contre le pouvoir temporel, qui, d’une part, tendait à tout absorber en soi, et, d’une autre part, à éteindre dans le despotisme de la force brutale et dans un matérialisme grossier tout ce qui restait de lumières et la morale même devenue le jouet de ses caprices les plus effrénés. Ce fut l’époque brillante et vraiment grande de la papauté, aidée, dans le combat à outrance qu’elle eut à soutenir, par l’infaillible instinct des peuples. Mais, selon la pente inévitable de la faiblesse humaine, après avoir arrêté les envahissements, repoussé la domination du pouvoir temporel qui aurait plongé la société dans l’abjecte servitude de la brute, elle s’efforça de se substituer à lui, de l’absorber dans son propre pouvoir, de constituer enfin une théocratie absolue, non moins destructive de la liberté, de l’homme intellectuel et moral. Alors les peuples, par le même instinct infaillible où elle avait d’abord trouvé un invincible appui, se tournèrent contre elle ; ils finirent même par la prendre en haine à cause de ses oppressions, de ses exactions, de son avarice insatiable et de ses corruptions de tout genre. De là, surtout dans les classes relativement instruites, une vive opposition qu’elle crut dompter par les supplices ; mais elle ne réussit qu’à la rendre secrète, à la refouler au fond des âmes où bouillonnaient les passions ardentes comme la lave en fusion dans les entrailles d’un volcan. Rien de plus vrai que ce que dit à cet égard M. Rossetti, et les preuves qu’il allégue, déjà connues, au reste, de quiconque a sérieusement étudié cette période de l’histoire, sont en général sans réplique ; seulement il n’apporte pas toujours assez de critique dans le choix de ces preuves, confondant quelquefois des choses très-différentes et même entièrement disparates. Ainsi, bien que les Albigeois aient pu avoir quelques liaisons avec d’autres ennemis de la Rome papale, ils n’en formaient pas moins une secte tout à fait à part, imbue des doctrines orientales d’un manichéisme analogue à celui de plusieurs gnostiques, et qui n’empruntaient au christianisme, dans un but de propagande plus facile, que certaines formes extérieures du culte et les dénominations verbales du sacerdoce hiérarchique. Il est vrai aussi que, en dehors de cette secte radicalement antichrétienne, la foi aux dogmes s’était ébranlée avec la foi au sacerdoce conservateur du dogme, et cela naturellement, comme aussi à divers degrés ; de sorte que, dans le langage symbolique au moyen duquel s’entendaient entre eux les adversaires de la Rome papale, langage habituellement tiré des figures de l’Apocalypse, il est souvent très-difficile de distinguer les sentiments réels de ceux qui l’emploient, leurs idées précises, et de fixer les bornes dans lesquelles se renferme leur croyance ou leur incroyance.

Pour ce qui est de Dante, il nous paraît, lors même que sa parole est la plus empreinte d’amertume, s’indigner uniquement contre les abus de la papauté, son ambition, sa rapacité, ses dissolutions scandaleuses, en respectant l’institution et la puissance, à ses yeux d’origine divine, qu’il reconnaît lui appartenir dans l’ordre spirituel.

Nous croyons, avec M. Ozanam, que sa théologie strictement orthodoxe, était la pure théologie alors enseignée dans les écoles, la théologie de saint Thomas et des autres docteurs. On ne saurait même, en le lisant, s’empêcher de remarquer le soin particulier qu’il apporte, lorsqu’il traite de ces matières, à ne rien dire qui ne soit rigoureusement exact, non-seulement quant au fond de la pensée, mais encore quant à l’expression. Quelques déviations apparentes, dont nous aurons à parler ailleurs, n’infirment point cette observation, incontestable, ce nous semble, dans sa généralité.

La philosophie naturelle, à proprement parler, n’existait pas encore. Au lieu de rassembler et de classer les faits pour remonter ensuite aux lois qui les enchaînent, elle suivait la méthode directement contraire, substituant l’hypothèse à l’expérience, et au monde réel un monde abstrait, produit fictif de vues à priori et de conceptions arbitraires. Elle procédait de la métaphysique étroitement liée à la théologie de qui elle dépendait, et à laquelle l’école s’efforçait de ramener les idées d’Aristote, mal compris et dont l’autorité ne laissait pas d’être souveraine[2] : d’où une double interprétation du dogme par le philosophe grec, et du philosophe grec par le dogme.

Très-inférieures à ce qu’elles avaient été chez les anciens et même plus tard chez les Arabes, la science du calcul et la géométrie, indispensables aux besoins de la vie dans les civilisations les moins avancées, subsistaient et se perpétuaient par un enseignement principalement fondé sur les livres de Boèce et d’Euclide. En astronomie, Ptolémée régnait exclusivement, et dans l’explication des phénomènes célestes, nul ne songeait ni n’eût osé songer à s’écarter de son système traditionnellement consacré.

Mais à l’astronomie se reliait tout un ordre d’idées à la fois philosophiques et théologiques, dont l’ensemble constituait ce qu’aujourd’hui on appellerait la physique du monde, la science de la vie dans tous les êtres, de leur organisation variée, des causes desquelles dépendent les aptitudes diverses, les inclinations, et, en partie, les actes de l’homme, ses destinées individuelles, et les événements mêmes de l’histoire. Le poëme de Dante est plein de cette doctrine dominante alors, et c’est pourquoi il est nécessaire de savoir comment il la concevait.

Tout émane de Dieu, de la trine unité de son être ; il a tout créé, et la création embrasse deux ordres d’êtres : les êtres immatériels, les êtres corporels. Bien que tous ces êtres, qui existent dans le temps, aient entre eux des relations de temps, ces relations, dépendantes de leur mode fini d’existence, n’ont de rapport qu’à eux. La création du monde des esprits et celle du monde des corps furent, quant à Dieu, simultanées, car sa durée est indivisible. Comment d’ailleurs comprendrait-on l’être spirituel séparé de sa puissance motrice actuellement en acte, laquelle en est le complément, et, pour ainsi parler, l’achèvement essentiel[3] ?

De ces purs esprits se composent les neuf Chœurs de la hiérarchie céleste. Comme autant de cercles concentriques, ils sont rangés autour du Point immobile, de l’Être un, dans un ordre que détermine leur perfection relative, les Séraphins d’abord, puis les Chérubins, et les autres jusqu’aux simples Anges. Ceux du premier cercle reçoivent immédiatement du Point immobile et la lumière et la vertu qu’ils communiquent à ceux du second ; et ainsi de cercle en cercle, comme des miroirs se renvoient l’un à l’autre les rayons, affaiblis par chaque réflexion, d’un point lumineux. Les neuf Chœurs, emportés par l’Amour, tournent sans cesse autour de leur centre en des cercles de plus en plus larges, à mesure qu’ils s’en éloignent plus, et c’est par eux que le mouvement et l’influx divin sont transmis à la création matérielle.

Celle-ci a au-dessus d’elle l’Empyrée, le ciel de la pure lumière[4]. Au-dessous est le Premier mobile, le plus grand corps du ciel[5], comme l’appelle Dante, parce qu’il enveloppe tous les autres cercles, et termine le monde matériel. Puis vient le ciel des étoiles fixes, puis, en continuant de descendre, les cieux de Saturne, de Jupiter, de Mars, du Soleil, de Vénus, de Mercure, de la Lune, et enfin, au point le plus bas, la Terre, dont le noyau compacte et solide est entouré des sphères de l’eau, de l’air et du feu.

Comme les Chœurs angéliques tournent autour du Point immobile, les neuf Cercles matériels tournent autour d’un Point fixe, mus par les purs esprits qui leur transmettent, réfléchie de cercle en cercle, la lumière qu’ils reçoivent du Point immobile, et les vertus informatrices, qui impriment en chaque être le caractère de sa nature propre, image imparfaite et participation limitée de ce que renferme en soi, à un degré infini, l’Être infini.

Ainsi, aux deux extrémités de ce grand Tout, deux points immobiles, l’un créé, l’autre créateur : en bas la Terre ou la partie la plus matérielle de la création, en haut le Principe universel subsistant de soi en dehors du temps, ou Dieu caché dans les ténèbres de sa lumière impénétrable ; entre ces deux points extrêmes, l’un en immensité, l’autre en petitesse, l’un plénitude de l’être, l’autre dernier terme du moindre être, la Création, de l’ange au grain de sable déployant ses merveilles ordonnées en deux hiérarchies symétriquement correspondantes : celle des esprits et celle des corps animés et inanimés.

Selon ces idées, l’enchaînement des phénomènes dans l’univers dépend d’un enchaînement semblable d’influences émanées de l’Être infini, et se modifiant de ciel en ciel suivant la nature de chacun d’eux et la nature des êtres qui les reçoivent ; de sorte que, connues en elles-mêmes ainsi que dans leurs combinaisons, les effets par lesquels elles se manifestent sur la planète que nous habitons, pourraient être prévus avec une certitude égale à la connaissance qu’on aurait de leurs causes. On voit que cette doctrine est le fondement de l’astrologie judiciaire, science très-réelle aux yeux de Dante, et objet d’une croyance, longtemps répandue dans le monde entier. Nul pays, nul siècle où, jusqu’à nos jours presque, on n’ait cru à l’influence des astres, et cette influence, dans un certain ordre de faits et en de certaines limites, est en effet incontestable ; car toute erreur enveloppe quelque vérité cachée. L’attraction lie dans un système de mouvements solidaires les corps flottants au sein de l’espace à des distances immensurables ; les grands agents physiques, la lumière, la chaleur, l’électricité, établissent entre eux de mutuelles communications, et y apparaissent comme les conditions nécessaires, les principes premiers de toute production organique et inorganique, de toute vie. Mais que, de l’ordre physique transportées dans l’ordre moral, ces influences y deviennent la cause effective des destinées des hommes, de leurs aptitudes, de leurs propensions et des actes qui en dérivent, comment le comprendre ? Comment comprendre que tout ce que sera, tout ce que fera un individu humain, tout ce qu’il éprouvera d’heureux ou de malheureux, que la trame entière de son existence, soit déterminée par la position relative des astres à sa naissance ? Et cependant cette opinion bizarrement étrange, on la retrouve, après Dante, en Italie dans Machiavel ; en France dans Montaigne[6], Bodin[7], à la cour de Louis XIII ; en Angleterre sous Charles Ier[8], et, à la fin du dix-septième siècle, Dryden, lui-même, en était imbu[9].

Une curiosité maladive, le désir inquiet de savoir et de prévoir ce qui, d’un si vif intérêt pour nous, se dérobe à notre vue dans l’obscurité de l’avenir, telle est la racine naturelle de l’astrologie. Mais ce qu’il n’est peut-être pas indifférent de remarquer, c’est qu’il n’est point de système de fatalité et de nécessité dont elle ne sorte comme une conséquence rigoureuse, et que nul matérialiste ne saurait logiquement la rejeter. Car, si tout est matière, et si tout est lié dans une suite éternelle de causes et d’effets s’engendrant l’un l’autre selon des lois physiques, immuables, nécessaires, rien dans les phénomènes de tous les ordres, rien dans les événements dont se composent la vie des individus et celle des peuples, qui, de proche en proche, ne remonte, comme à sa cause originaire, aux grands corps circulant dans l’espace ; rien qui ne subisse leur influence plus ou moins directe, et n’en soit l’effet fatalement prédéterminé.

La philosophie de Dante et de son temps se proposait un autre problème que se sont également proposé toutes les philosophies ; car, en ce qui touche l’univers, il n’en est point de plus général ni de plus fondamental ; et lorsqu’on vient à y regarder attentivement, on est surpris de voir combien se ressemblent, au langage près, les solutions qu’on en a données.

Dans ce que la nature présente à notre vue on reconnaît d’abord deux choses essentiellement distinctes : un fond commun étendu, divisible, que la pensée peut séparer de toute détermination spécifique et différentielle ; des êtres déterminés, et différents les uns des autres par des qualités et des propriétés spécifiquement diverses. D’où la nécessité de conserver deux principes, qui, sous quelque nom qu’on les désigne, correspondent à ce que les Scolastiques, dont la doctrine est celle de Dante, appelaient matière[10] et forme. La matière homogène, inerte, recevait dans chaque sphère les vertus qui, transmises par les sphères supérieures, l’informaient, c’est-à-dire produisaient, en s’unissant à elle, les formes diverses ou les êtres divers que spécifient ces formes ; ou, comme on parlait encore, ces causes formelles de la configuration extérieure et de la nature intime de chaque être.

Chez les anciens, quelques sectes philosophiques avaient cherché à expliquer la variété dans l’univers, sans recourir à deux principes distincts. Elles n’admettaient que la seule matière dont les parties infiniment petites, animées d’un mouvement primitif, formaient en se combinant les innombrables corps de figures et de qualités diverses, lesquels, dès lors, composés d’atomes similaires, ne différaient entre eux que par l’arrangement de ces atomes. Mais cette hypothèse, sujette à des difficultés insolubles, était rejetée, chez ces mêmes anciens, par d’autres philosophes, et notamment par Aristote, dont les idées à cet égard sont au reste fort obscures. On sait combien on a disputé sur ses fameuses entéléchies, identifiées par les Scolastiques à leurs vertus informatives.

Chez les modernes, deux écoles ont renouvelé ces deux solutions du problème général des choses. L’une, supposant que la matière et le mouvement suffisent pour rendre compte de tous les phénomènes, nie que la diversité des formes ou des natures dépende d’un principe spécial, et nie par conséquent les espèces essentielles, immuables. L’autre admet des espèces immuables, essentielles, et par conséquent une cause de cet effet, et par conséquent un principe, quel qu’il soit, de diversité. Qu’on l’appelle forme ou de tout autre nom, ce principe est en réalité le même que celui des Scolastiques : tant est restreint le nombre des conceptions possibles en ce qui touche les causes nécessaires et primordiales.

À ce sujet, il est à remarquer encore que, dans la science de l’organisation, le mot germe, opposé aux qualités occultes des anciens et du Moyen âge, n’a aucun sens, ne représente aucune idée saisissable, si l’on n’y joint celle d’une détermination primitive, et conséquemment d’un principe ou, comme on s’exprime aujourd’hui, d’une force productrice de cette détermination, et cette détermination même essentielle. De sorte que, d’une part, dans la théorie d’un seul principe homogène, des déterminations sans causes déterminantes ; et, d’une autre part, dans la théorie des germes ou forces spécifiques, des causes déterminantes se résolvant dans un principe général et premier de détermination ou de diversité, certain s’il n’est point d’effet sans cause, mais inconnu en soi, et, pour le moins, ressemblant en cela beaucoup aux qualités occultes, proscrites par une science qui les reproduit de fait sous de nouvelles dénominations. Et c’est que ce mot occulte ne marque en effet que la limite de la connaissance, le point où elle est parvenue, et au delà duquel les ténèbres commencent.

De ce qui vient d’être dit il résulte que Dante n’eut point de philosophie propre ; il adopta, sans innover, celle alors admise dans l’école, impuissante à créer la science de l’univers, qui ne pouvait naître et se développer qu’à l’aide d’une méthode directement inverse de la sienne. L’une, fondée sur l’observation, remonte des faits aux causes qu’ils impliquent ; l’autre, partant d’hypothèses logiques, descend des causes supposées aux faits qui s’en déduisent et doivent s’y plier : d’où, au lieu d’un système de connaissances réelles, un système fantastique d’abstractions. À chaque siècle son œuvre. L’astronomie attendait Copernic et Képler, la physique, Galilée et Bacon. Toutefois, deux choses sont à remarquer dans la philosophie si poétiquement exposée par Dante, le caractère d’unité qu’elle présente, et le lien qu’elle établit entre le monde spirituel et le monde matériel. Que ce lien, tel qu’on le concevait, fût fictif, que les rapports intimes de ces deux mondes fussent mal définis, là-dessus nul doute. Mais l’idée première n’en était pas moins vraie, et le vide qu’à cet égard offre la science actuelle, la scission complète effectuée par elle entre deux ordres inséparables de causes et d’effets, en la privant d’un de ses éléments, qu’il fut peut-être utile de négliger d’abord, l’environne comme d’un nuage, lui prescrit des bornes arbitraires, et ne peut désormais qu’en retarder les progrès.


  1. Aussi le titre de « théologien » est-il le premier donné à Dante dans l’inscription inscrite sur son tombeau :
    Theologus Dantes, nullius dogmatis expers.
  2. Il gran maestro di color che sanno. (Inf. iv.)
  3. Paradis, ch. xxix, terc. 15.
  4. Paradiso, ch. xxx, terc. 13.
  5. Ibid.
  6. Essais, liv. II, ch. xii.
  7. Républ, liv. IV, ch. ii.
  8. Lorsque, retenu prisonnier dans le château de Carisbrook, il tenta de s’en évader, un astrologue fut consulté sur l’heure la plus favorable à cette évasion. — Johnson. Life of Butler.
  9. Ibid.
  10. L’ulè des Grecs.