Eureka/Note du traducteur

Eureka (1848)
Traduction par Charles Baudelaire.
M. Lévy frères (p. 249).


NOTE DU TRADUCTEUR


Les dernières pages du livre indiquent au lecteur le sens qu’il doit attribuer au mot Vie Éternelle, qui est employé dans les dernières lignes de la préface.

Le mot est pris dans un sens panthéistique, et non pas dans le sens religieux qu’il comporte généralement. La Vie Éternelle signifie donc ici : la série indéterminée des existences de Dieu, soit à l’état de concentration, soit à l’état de dissémination.