Discussion:Les Veillées du couvent, ou le Noviciat d’amour

Dernier commentaire : il y a 1 mois par Cunegonde1
Informations sur l’édition de Les Veillées du couvent, ou le Noviciat d’amour

Édition : Les Veillées du couvent, ou le Noviciat d’amour ; poème éroti-satyrique, par un bâtard de Mirabeau l’aîné ; Anonyme.


Source : BnF BnF Gallica


Contributeur(s) : --Cunegonde1 (d) 26 mai 2024 à 08:10 (UTC)Répondre


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’’’Notice de la BNF’’’

Titre : Les Veillées du couvent, ou le Noviciat d’amour ; poème éroti-satyrique, par un bâtard de Mirabeau l’aîné
Auteur : Anonyme, auteur du texte.
Éditeur :
Date d’édition : 5793 (1793)
Type : text
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 155
Droits : domaine public
Identifiant : ark:/12148/bpt6k15122051
Source : Gallica, département Réserve des livres rares, Enfer-1251
Notice
du catalogue :
(FR-BNF 33638848k)
Provenance : Bibliothèque nationale de France
Date de mise
en ligne :
19/09/2017



informations sur cette édition

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  1. Voir la note dans la Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour... par le C. d’I*** (J. Gay), Bécour, 1897, T. 3, col. 1306 : « Veillées (les) du couvent, ou le Noviciat d’amour, poème éroti-satyrique en prose et en cinq livres, par C. F.
    X. M. D. C. (par Mercier de Compiègne). Lutipolis (Paris), 1793, 1796, in-18, figures. — Jannet, 7 fr. ; Alvarès, en 1858, 6 fr. 50.
    Il y en a eu d’autres réimpressions ; c’est un ouvrage libre, mal écrit et fort médiocre à tous égards. — La deuxième édition a paru en 1793, sous le titre: Œuvres libres d’un citoyen qui ne l’est pas. Les Veillées du couvent, 2 figures d’après des dessins de Moreau. — Cinquième édition. Lutipolis, de l’imprimerie du libraire- auteur (Mercier), l’an 2496, petit in-18 de 169 pages, en y comprenant un avis de l’éditeur placé à la dernière. A la page 167, se trouve une pièce de vers intitulée : A Manon, en lui envoyant un exemplaire de cet ouvrage. Mis à l’index à la vente Auvillain, 1865.
    La dédicace de l’auteur, intitulée : A mon livre, bavardage coutumier, laisse supposer que cette édition a été imprimée chez Didot, avec les caractères de Fournier, et que les deux figures, fort Légères, ou plutôt à demi libres, ont été dessinées par Moreau le Jeune. Ce qui n’empèche pas le livre d’être mal imprimé et les figures d’être médiocres. »

  2. Voir la note dans les Livres de l’Enfer, par Pascal Pia, éd. 1998, Fayard, p. 773, cols. 1485-1486 : « Les Veillées du couvent, / ou / Le Noviciat d'amour / poème éroti-satyrique; / Par un Bâtard de Mirabeau l’aîné. / [fleuron] / À Saint-Cyr, | Et à Paris, / Rue du Coq St.-Honoré, n° 120 / - / L'an de Vénus 5793.
    1 vol. in-12 tellière (8,2 x 14,5) de 141 pages (faux-titre et titre compris) et 3 pages (catalogue), plus 1 frontispice gravé.
    Le faux-titre dit: Œuvres libres d'un citoyen qui ne l'est pas.
    Les trois pages qui terminent le volume annoncent les « Nouveautés qui se trouvent en nombre chez Claude Mercier, Imprimeur-Libraire, et homme de Lettres, rue du Coq Saint-Honoré, au Temple des Arts, n° 120.
    C'est un des nombreux ouvrages dus à Claude Mercier, conteur, poëte, auteur dramatique et traducteur, né à Compiègne en 1763 et mort en 1800 à Paris, où il avait exercé le métier de libraire, Pour le distinguer d’un autre auteur, l'érudit Barthélemy Mercier, abbé de Saint-Léger, les bibliographes donnent souvent à Claude Mercier le nom de Mercier de Compiègne.
    B.N. Enfer, 1251, Demi-rel. chagrin jaune à coins, dos orné à froid, pièce de titre rouge, tête dorée (rel. xixe s.). »
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