Informations sur l’édition de Le Songe de la pucelle |
Édition : Le Songe de la pucelle, édité par Robin Foucquet et Jean Crès (Bréhan-Loudéac) Source : BnF Gallica. Contributeur(s) : --Cunegonde1 (d) 3 octobre 2020 à 07:29 (UTC) Remarques : Pour aider à la compréhension des mots inconnus voir le dictionnaire en ligne atilf Relu et corrigé par : --Cunegonde1 (d) 3 octobre 2020 à 07:29 (UTC) |
Autre édition (version) : édition de 1488-1492 Le Songe doré de la pucelle, Gallica.
Titre : | Le Songe de la pucelle |
Éditeur : | Robin Foucquet et Jean Crès (Bréhan-Loudéac) |
Date d'édition : | 1484-1485 |
Type : | text |
Type : | monographie imprimée |
Langue : | français |
Format : | [8] ff. : signés a8 , car. goth. ; in-4 |
Format : | Nombre total de vues : 16 |
Droits : | domaine public |
Identifiant : | ark:/12148/bpt6k1511307w |
Source : | Gallica, département Réserve des livres rares, RES-YE -1154 (4) |
Notice du catalogue : |
(FR-BNF 33608451r) |
Provenance : | Bibliothèque nationale de France |
Date de mise en ligne : |
15/02/2017 |
Informations sur cette édition
modifier- Voir la note dans la Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour... par le C. d’I*** (J. Gay), Bécour, 1897, T. 3, cols. 1131-1132 : « Songe (le) doré de la pucelle (en stances de sept vers de huit syllabes chacun). Brehant-Lodéac (en Bretagne), 1484, in-4° (un exemplaire à la Bibliothèque nationale. Y, 6156). — S. l. n. d. (probablement Lyon, vers 1500), in-4° gothique de 13 feuillets, 1 figure sur bois (un exemplaire à la Bibliothèque nationale). — S. l. n. d., in-16 gothique (Aimé-Martin, 103 fr.). — Paris, imprimerie Crapelet, 1831, in-8 de 32 feuillets, caractères gothiques, tiré à cent exemplaires (Poésies des XVe et XVe siècles). Le catalogue de la bibliothèque des ducs de Bourgogne (tome Ier, page 221) en indique un manuscrit commençant ainsi :
A l’heure du somme doré....
Songe allégorique composé d’un dialogue entre Honte et Amour. Selon l’usage, la pucclle, réveillée, laisse le lecteur indécis sur le résultat que doit avoir ce plaidoyer, fort sérieusement fait (Viollet-Leduc, page 101). — Réimprimé dans le troisième volume du Recueil de Montaiglon, pag. 204-231. »