Correspondance de Voltaire/1765/Lettre 6011
Correspondance de Voltaire/1765
6011. — À M. ÉLIE DE BEAUMONT[1].
8 mai.
Le sieur Potin, l’un des clients du véritable Élie, du protecteur des opprimés, présentera à son défenseur le procès ci-joint, dont M. de Beaumont est bien plus juge compétent que la grand’chambre. Le neveu de l’abbé Bazin[2] salue très-humblement M. et Mme de Beaumont. Il prend la liberté de leur recommander et à leurs amis le sieur Potin, à qui il s’intéresse.