Correspondance de Voltaire/1760/Lettre 4330

Garnier (Œuvres complètes de Voltaire, tome 41, p. 59-60).

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4330. — À M. DE CHENEVIÈRES^[1].

Aux Délices, 11 novembre.

Vous verrez bientôt, mon ami, M^me de Bazincourt^[2] ; elle va des Délices au couvent, de la comédie à vêpres, de chez moi chez l’archevêque de Paris. Elle aura eu tous les honnêtes plaisirs mondains, et aura celui de faire son salut. Elle doit d’abord vous embrasser pour elle, comme de raison, et ensuite pour moi. Je me flatte que M. l’archevêque nous la renverra, dès que je ferai bâtir une église.

Voici les deux cartes qui manquaient à Pierre.

Je vous embrasse.

Voilà donc encore le roi de Prusse devant Dresde, et c’est à recommencer !

↑ Éditeurs, de Cayrol et François.
↑ Voyez la dernière lettre à Chenevières.

[1] Éditeurs, de Cayrol et François.

[2] Voyez la dernière lettre à Chenevières.

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