Correspondance de Voltaire/1729/Lettre 191

Correspondance de Voltaire/1729

Correspondance : année 1729, Garnier, Œuvres complètes de Voltaire, tome 33 (p. 192).

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191. — À M. THIERIOT^[1],

chez m. de nocé, cloitre saint-germain-l’auxerrois.

À huit heures du matin, 4 avril 1729.

J’ai, mon cher Thieriot, quelque chose de conséquence à vous communiquer. Je vous attends chez Germain Cassegrain, dit Dubreuil, rue et cloître Saint-Médéric, à moins que vous ne vouliez me donner un autre rendez-vous. Je mène la vie d’un rose-croix, toujours ambulant et toujours caché, mais ne prétendant point à sagesse. Quanquam ô^[2] !

↑ Editeurs, Bavoux et François.
↑ Quanquam ô ! exclamation de regret d’un lutteur dans Virgile, Énéide, V, 105.

[1] Editeurs, Bavoux et François.

[2] Quanquam ô ! exclamation de regret d’un lutteur dans Virgile, Énéide, V, 105.

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