Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 8-9/1795
1795. À GEORGES CHARPENTIER.
Croisset, 29 janvier 1879.
Oui, c’est vrai, j’ai une très forte entorse, avec fêlure du péroné. Ce n’est pas dangereux, mais ce sera long.
Je vous embrasse.
Oui, c’est vrai, j’ai une très forte entorse, avec fêlure du péroné. Ce n’est pas dangereux, mais ce sera long.
Je vous embrasse.