Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 5/0849
849. À CHARLES LAMBERT.
[Mai 1866 ?]
Mon cher Lambert,
Excusez-moi de ne pas aller vous faire mes adieux. Recevez-les ici sur cette feuille de papier. N’allez-vous pas tous les ans au Tréport ou à Fécamp ? Si vous passez par Rouen, cet été, rappelez-vous que Croisset est à un quart d’heure de la dite ville, et que vous y serez reçu avec ivresse.
J’aurais bien voulu, cet hiver, vous voir plus souvent. Mais ! etc… espérons que l’hiver prochain sera plus bourré de hautes questions.
Adieu, tout à vous.
Je vous serre les mains très affectueusement, cher ami.